Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/09/2019

La Rivière du poète ♣♣♣ Ce qu'elle a fait ♣♣♣ Des écoles d'accord, mais pas n'importe lesquelles

 

River, I’m done with fading shadows. Give me daylight broken and scattered across your fluid transparent face, come meet me with the moon and the stars running and tumbling along your sides.

 

Rivière, j'en ai fini avec les ombres qui s'effacent. Donne-moi la lumière du jour qui se brise et s'éparpille sur ton visage fluide et transparent, viens à ma rencontre avec la lune et les étoiles qui tournent et dégringolent le long de tes flancs.

 

Extrait de River to River de Hai-Dang Phan

 

♣♣♣

 

Aux antipodes des comportements maffieux.

 

"Sainte Teresa de Calcutta (1910 - 1997)

 

Sainte Teresa de Calcutta, est une religieuse catholique albanaise naturalisée indienne, missionnaire en Inde. Elle est surtout connue pour son action personnelle caritative et la fondation d'une congrégation religieuse, les Missionnaires de la Charité qui l'accompagnent et suivent son exemple..

 

D'abord religieuse de l'ordre missionnaire des sœurs de Notre-Dame de Lorette, elle quitte cette communauté en 1949 pour  suivre son appel puis fonder sa propre congrégation en 1950. Son œuvre auprès des plus démunis commence par l'éducation des enfants des rues et l'ouverture du mouroir de Kalighat (Nirmal Hriday) à Calcutta. Pendant plus de 40 ans, elle consacre sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants, d'abord en Inde puis dans d'autres pays, et elle guide le développement des Missionnaires de la Charité. Au moment de sa mort, ceux-ci s'occupent de 610 missions, dans 123 pays, incluant des soupes populaires, des centres d'aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices et des maisons d'accueil pour les personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose.

 

Prière

 

Prions pour que nous sachions nous occuper des pauvres, des malades en leur portant de l'amour."

 

Lu sur Hozana.

 

♣♣♣

 

J'ai aimé l'école primaire pour l'humanité qu'il y avait dans cette école. Pour d'autres, l'expérience qu'ils ont de l'école est l'inhumanité, le harcèlement, la méchanceté. Allons à bonne école, je nous le souhaite ; évitons à tout prix celle où le petit garçon de la vidéo à été fourré.

 

 

 

26/09/2011

Comme dans un film de série noire par J-M Bretonnier

"Liasses de billets passant des coffres d'autocrates africains aux caisses occultes de partis politiques français, pourcentages prélevés sur les marchés publics au profit d'élus locaux soucieux de leur réélection, emplois fictifs vraiment payés par les contribuables, tout cela avait fini par écoeurer le législateur." Intégral :

http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur...

12/09/2011

De l'histoire du film à l'Histoire - cogitations matinales

 

Hier j'ai vu un film que j'ai trouvé plutôt bien construit (le bûcher des vanités de de Palma), mais le portrait qu'il délivrait de la société américaine à travers le Manhattan et le Bronx des années 50 n'était pas emballant. Le « Young Urban Professional » de l'époque, et le zonard du Bronx vivaient dans des mondes forcément parallèles, les uns étant très riches, les autres très pauvres. Il résultait de cette démesure que les deux mondes ne pouvaient se côtoyer sans frictions. La rancoeur des infortunés (noirs et pauvres) faisait sombrer les plus âgés dans une bigoterie de mauvais aloi et les jeunes dans la violence. Sur fond de plébiscite électoral la justice, sous la pression des politiques, risquait de tomber dans la démagogie afin de rétablir une certaine entente entre élus et « peuple black » tandis que certains éléments de celui-ci, de son côté, sombraient peu à peu dans l'opportunisme. L'histoire ne mentionne pas explicitement l'existence d'un pauvre qui serait blanc, sauf peut-être dans le risque de chute irrémédiable du journaliste blanc s'il n'avait pas  réussi son coup médiatique. Les circonstances amenèrent ainsi tout le monde à tenter de sacrifier, dans cette histoire plausible, le salaud de service, en l'occurrence, un « yuppie », sans importance au regard des enjeux électoraux. Un monde fait de telle façon que les traquenards où tomber sont nombreux, un jeu de l'oie pas drôle en somme.

Après un coup d'oeil à La Voix du Nord de vendredi, j'ai eu l'occasion de remonter les siècles via un article sur la commémoration festive à Wattrelos des Berlouffes. Des « gueux » se sont jetés à l'époque, du clocher de l'église dans laquelle ils s'étaient réfugiés, pour échapper aux flammes. Les faits n'ont pas la même ampleur à l'échelle du nombre, ni le même écho, le temps aidant. Malgré tout, ces « gueux » d'alors, en raison de certaines similitudes tragiques, on évoqué à mes yeux le martyr de ces américains de la classe moyenne, victimes du 11 septembre. Il y a une même « fatalité » dans ces événements qui prend sa source dans l' incommunicabilité entre différents groupes humains.

 

"En pleines guerres de religions, des protestants assaillis s'étaient réfugiés dans l'église. Pris au piège par un incendie, certains de ces « gueux » s'étaient jetés du clocher. Le brûlage du géant, également en fin d'après-midi dimanche, complétera le rappel de cetévénement." :

 

http://www.lavoixdunord.fr/Loisirs_Sorties/Nord_P