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30/09/2020

Agriculture de façon à pouvoir nourrir les populations des zones rurales dans certains pays

L'agriculture en certains pays : la famine en question, au bout du compte.

 

Extrait de l'article :

 

"La thèse qu’ils proposent est celle des origines agraires des changements de régime : dépossédés successivement par l’exploitation coloniale, par les politiques de modernisation, puis par le tournant néolibéral et les politiques d’ajustement structurel, les petits paysans égyptiens et tunisiens ont été à la racine des soulèvements de 2011. Les lecteurs et lectrices ne trouveront cependant que très peu d’éléments quant au déroulé des révolutions elles-mêmes. Ce travail s’appuie en effet sur des sources secondaires, notamment des documents légaux et administratifs relatifs aux différentes périodes étudiées, ainsi que sur un riche matériel statistique issu d’organisations internationales, qu’ils transposent dans des cartes pour articuler leur démonstration autour du concept de « classe socio-spatiale ». L’ensemble permet ainsi aux auteurs de contester un récit dominant centré sur les classes moyennes urbaines au détriment des zones rurales, qui ont pourtant effectivement été le point de départ géographique des soulèvements."

 

Ici :

 

https://laviedesidees.fr/Habib-Ayeb-Ray-Bush-Food-insecur...

05:11 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

28/09/2020

Écoute

 

04:58 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

27/09/2020

Quand la réalité dépasse la fiction

J'ai tendance à penser, quand la réalité dépasse la fiction, qu'en fait c'est peut-être bien quand même un peu de la fiction. Si l'on a l'impression que les gens sont manipulés, alors l'impression de fiction se renforce. Manque de chance pour moi, hier, des personnes m'ont parlé de cas de covid dans leur famille, de proches qui ont mis du temps à récupérer ensuite, et même de morts du covid. Entendant cela, je n'avais pas peur pour moi mais j'étais peinée pour ces personnes, et aussi d'entrevoir la réalité de ce virus, qui me rigolait au nez "pasque t'avais fini par croire que j'existais pas, p'tète, que tout ça était de la mise en scène ?"

 

Hier donc, nous sommes allés, mon ami et moi,  boire chocolat et café dans le café en face de la maison de la presse. Café où les clients étaient guillerets et chaleureux. Je me suis reconnue en eux, comme de la même espèce en somme, "espèce", dans le bon sens du terme, comme famille. C'était bon cette chaleur humaine, je dois dire. À la librairie, j'ai entendu parler de la réalité du virus circulant. Par des personnes forcément un peu moins guillerettes, beaucoup moins insouciantes, quelque peu moins légères, que mes amis d'en face. Vague chaude et vague froide. On peut aussi résumer la journée ainsi. Car à la maison de la presse aussi il y eut une vague chaude (le matin) et une vague froide (l'après-midi). Le matin, la clientèle bien que parlant du virus pour certains, était souriante quand même, malgré tout ; mais l'après-midi les gens étaient souvent comme un peu absents et tristes, soucieux. Et certains probablement simplement indifférents ou l'esprit ailleurs.   

 

Y aurait-il plusieurs couches de réalités ? la réalité pour ceux qui transcenderaient le virus par la joie comme dans le café d'hier et aussi comme les clients du matin à la maison de la presse, bien que certains parlaient du virus avec un peu de crainte mais pas suffisamment pour venir à bout de leur joie de vivre. Les adeptes de la joie auraient du coup leur système immunitaire  renforcé. Et ceux qui auraient trop peur pour lutter efficacement contre lui ?

 

Pourquoi j'ai pensé à de la manipulation et pourquoi je n'ai pas tout à fait exclu qu'il y en ait ? parce que par exemple, d'un côté on voit sur les plateaux télé les  privilégiés du système se parler sans masque, ces mêmes personnages demandent aux autres de porter le masque tout le temps, dès qu'ils se rencontrent. On étouffe là dessous, cela dit. Mais je ne le rejette pas complètement, ce masque car quand j'entends des gens tousser ou éternuer je préfère les voir avec un masque. Idem pour moi, si je tousse ou si j'éternue, j'en porte un. Mais je le porte aussi quand je ne tousse pas et n'éternue pas ; sans non plus postillonner étant donné que je n'ai pas cette tendance.

 

Je vais rester quelques temps sans venir sur le blog, par respect pour la douleur d'éventuels lecteurs ayant été confrontés à la vilenie de ce virus. Car oui, j'ai de la peine pour eux. 

 

 

04:15 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)