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21/08/2020

J'en suis à la page 219

J'en suis à la page 219 de Zébraska et parallèlement à cela, j'ai presque terminé la lecture de La nuit avalera le mal.

 

Une grosse énigme dans Zébraska, dont le héros se roule par terre fréquemment en poussant de grands cris car il endure beaucoup de sarcasmes de l'entourage en plus d'être hyper sensible et hyper émotif. La maman se sauve parfois au fond d'un bois pour évacuer elle aussi par des cris, la contamination du stress enduré par Thomas. Elle se pose tant de questions, est-ce elle qui aime trop ce fils se demande-t-elle. Et le cadet, comme elle a de l'amour à revendre, elle l'aime également. Lui n'est pas un "hyper" il est dans la normalité dirons-nous, mais l'ambiance douloureuse par moments rend ce "petit soleil" plus terne, voire timide, voire transparent. Zébraska est un livre qui ne peut pas laisser indifférent.

 

Non plus La nuit avalera le mal, qui fait espérer  en l'homme aussi à sa manière. C'est plus obscur car le crime est de la partie, mais l'auteure assume une foi, en Dieu. Et cela fait du bien.

 

Pour moi, les deux bouquins se font écho. Quelle générosité de la part des deux auteures ! 

 

20:52 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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