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06/03/2020

Le rêve

Pas de rêve cette nuit. Pas de rêve qui "me dénonce" comme pas aussi apaisée que je ne le pensais. Le léopard d'hier était moi ; je me suis bien reconnue en léopard(e), quelqu'un de révolté contre le mal mais qui ripostait par le mal. Donc une victime devenue à son tour bourreau, c'est pourquoi le malaise, du fait que l'on patine dans la gadoue. Mais après une nuit sans rêve me montrant la poutre que j'ai dans l'œil, je me sens mieux. Je suis en paix.

Lu ce matin sur Jubilate Deo :

 

"Pouvoir du mal, visage de Dieu – III

 

Dieu pouvait mettre dans notre monde plus de justice, de sagesse, d’amour; mais il ne pouvait pas mettre plus de justice, plus de sagesse, plus d’amour à faire ce monde. Etant donné le niveau d’être et de bonté, la qualité, l’intensité, la coloration du bien commun final auquel Dieu – compte tenu de toute éternité des libres oui qu’Il nous fait dire à Son amour, et des libres non que nous opposons à ses prévenances – décide d’élever l’univers, il est absolument certain que c’est avec une justice, une sagesse, un amour proprement infinis, que Dieu ordonne tout à ce bien commun final, les choses nécessaires et les choses contingentes, les choses libres et les choses fortuites, les progrès du bien et les ravages du mal.

Charles Journet, Le mal – Essai théologique (Saint-Augustin, 2013)"

Commentaire : donc pas question de flatter les égoïsmes. Il s'agit de Bien commun.

 

Le léopard en question :

 

 

07:47 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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