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26/12/2019

Le poème d'Alma Soror Journal Intemporel ♣♣♣ Il paraît que... ♣♣♣ Le thé dans ma gargouille électrique

Partage ici du poème lu ce matin, pris sur le blog Alma Soror, écrit par elle :

 

 

Je descends l'escalier du temps.
Les secondes s'éloignent pour céder place aux siècles.
Et les siècles des siècles deviennent millénaires.

 

 

Je descends l'escalier du Bien.
Mais des guerres demeurent, des charités s'effacent.
Le Bien prend un visage que je ne devinais pas.

 

 

Je descends l'escalier de l'amour.
Ni anneaux de mariage, ni caresses sur des draps charnels.
Quelques silhouettes s'accompagnent sur un chemin barré par des pierres lourdes.

 

 

Je descends l'escalier du diable.
Il a l'air pensif.
Son cœur empli de bonnes intentions guide sa bouche à chaque parole.

 

 

Je descends l'escalier de Dieu.
C'est un enfant qui pleure.
Il tend la main pour que je l'aide à vivre.

 

 

Je descends l'escalier de ma vie.
La dernière marche m'attend, qui prendra mon dernier souffle :
ma naissance.

 

 

☺☺☺

 

 

"Il paraît que l'on se bat pour nous. Tant mieux, non ?"

 

http://diereseetlesdeux-siciles.hautetfort.com/archive/2019/12/26/notes-et-contre-notes-6200779.html

 

 

♫♫♫

 

 

Le thé Brûlant. Après le blender "à velouté", pas cher et de qualité, qui permet aussi de recycler les bananes trop mûres en smoothies, je me suis octroyée tout à l'heure une théière d'où il sort en quelques minutes un thé brûlant. Réconfort formidable. Les connaisseurs du thé diront que cette boisson doit être tiède afin de conserver tous les bienfaits de la plante. Mais je ne buvais plus de thé à force de le boire tiède.

 

Les avantages du thé brûlant que concocte cette théière électrique : par exemple j'ai mis dans la chambre à infusion, non pas du thé, mais des feuilles séchées de menthe poivrée. Ensuite j'ai mis l'eau, puis calé le système infusion sur la verseuse. La théière  se met peu à peu à émettre des gargouillis tout en diffusant dans la pièce le parfum de la menthe : en fait, ça chauffe : l'eau remonte dans le tube, et va imprégner les feuilles de menthe poivrée. L'eau redescend dans la verseuse et se colore, devient foncée. Le voyant s'éteint. Il faut enlever la prise de la fiche afin de ménager la gargouille. Plus qu'à verser l'infusion brûlante et parfumée dans mon grand bock, il est vrai pas très raffiné, mais on s'en fiche car l'essentiel est que s'en dégage une fumée qui, s'introduisant dans mes narines monte vers mes neurones et les délasse. Je bois à petites gorgées prudentes car ça brûle. Toute la pièce est fortement parfumée quand on fait le thé avec cette théière. 

 

Veloutés, thés brûlants... bonnes pauses hivernales. Merci Liddle, pour qui je fais de la pub pour améliorer mon capital points retraite (je plaisante). Reste à espérer que les grévistes ne couperont pas l'électricité.

 

 

 

 

 

 

 

15:53 Publié dans Note, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

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