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19/07/2016

L'empathie

Ce n'est pas pour rien que je ressens une forte empathie pour Samuel Beckett... elle s'est formée à la lecture de son livre où évolue un certain personnage, Molloy, si je me souviens bien, qui suce des cailloux lorsqu'il a faim. Un personnage errant, pas dans la norme, et poursuivi par un homme qui a pour mission de l'éliminer. La violence de Molloy d'un coup survient quand il se trouve en situation de légitime défense. Il faudra que je relise ce livre encore et encore. Les rapports de Molloy avec son père sont aussi très compliqués. L'écriture de Beckett recelait pour moi  la poésie âpre de l'absurde où je décelais l'humanité de Beckett. En parlant d'humanité et de Beckett me vient l'idée de mettre en ligne ci-dessous un dessin de Zébra qui est un peu un personnage errant aussi, ici, elle erre dans une BD de Morris.

Je parle ce matin car je viens de lire une chronique au sujet de En attendant Godot, sur Diérèse :

http://diereseetlesdeux-siciles.hautetfort.com/archive/20...

 

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