12/06/2014
entendu et lu ceci et encore cela
Les paroles de la chanson postée précédemment ne sont pas gaies, la musique sublime la tristesse et ce n'est pas déprimant, c'est plutôt de l'ordre de l'accouchement d'une douleur, qui au grand jour n'est plus sourde, blues profond que cette chanson qui parle de maltraitance.
Ai lu, et cette fois à l'état brut, sur le blog Dierèse, un texte parlant d'un film et qui se termine avec cette phrase : "Brûle comme brûle, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, l’ampoule grillagée d’une cellule de privation sensorielle."
Jacques Sicard
Les humains s'infligent des choses inhumaines, les seuls animaux à s'infliger pareilles choses. À méditer. Je vais recevoir aujourd'hui ou demain Au-dessous du volcan. En attendant, un ange revigorant :
10:52 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)
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