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19/02/2014

le catcheur et le poète

Je suis allée relire des bribes de l'interview de Joyce Carol Oates pour retrouver de quel poète elle parle vers la fin. Il s'agit de William Butler Yeats, dont elle dit qu'elle a appris par cœur son poème intitulé "To a friend whose work has come to nothing" ....  une pensée pour le grand bosseur  et explorateur Wallace dont j'ai appris la  mésaventure il y a peu dans Englistown, l'homme, vous savez, que  Darwin zappa alors que Wallace voulait partager ses connaissances avec lui. 

 

Bref, je vais chercher le poème que mentionne Joyce Carol, je le trouve sans problème, et, voulant vérifier le sens d'une expression, je vais dans le moteur de recherche que vous savez et tombe alors sur des propos tenus par un catcheur anglophone : John Cena. John Cena, comme Lino Ventura, est aussi acteur. Les propos de Cena ne sont pas mal non plus mais lui fait référence à Muhammed Ali.

 

Catcheur et poète croisent leurs mots ici,  vous trouverez facilement le poème de Yeats, je mets donc les propos de John Cena :

 

 "I never thought of losing. But now that it's happened the only thing to do is to do it right. That is the obligation to those who believe in me. We all take defeats in life. Those are famous words from the great Muhammed Ali. Now tonight you guys have seen various clips of various things that I've said on this road to WrestleMania. And I'll be quite honest: I've talked. I've talked a lot. I've talked so much that anybody else in my shoes right now would be making excuses, backtracking, saying that it wasn't their fault. That is not me. That will never be me. I meant every single thing that I said. I meant it then, I mean it now. There is not one second in the year long built up to WrestleMania, that I ever thought that I was going to lose. Because if you think like that, then, my friend, you have already lost. But no one goes undefeated in life. And a true champion retains the will to win even through their most disappointing loss."

 

 du mental bien envoyé ma foi, une prose qui ne boxe pas autant que celle de Bernanox qui tient de la boxe à réveiller les morts, mais Céna se défend bien.

 

14:11 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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