08/12/2013
Extrait de poème
"Les iconoclastes aux mains rouges de sang
Les essuient discrètement sur des tableaux de Soulages
Les aveugles impénitents parasites du désordre structuré
Palpent en toute impunité les fessiers lascivement abandonnés.
Tous saoul de l’ivresse émerveillée de leur intelligence.
Soudain passe haut un lumineux soleil de printemps.
Les nains restent fièrement dans leur ombre
Auréolés de fausses certitudes de suprématie
Au-delà des contingences de la vie ordinaire"
Intégral : http://rivaluigi.hautetfort.com/
08:17 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.