Vu de la passerelle qui le surplombe, un prunier

la passerelle en question :

 

et, lors de la même sortie, j'ai jeté un coup d'œil sur ce pâté de maisons, un rien pittoresque, non ?

 

Un peu plus loin, vogue sur les flots la péniche bleue

 

 

Entre les barreaux du pont, en attendant l'approche de la péniche, je cadre un "petit" tracteur, dirait-on pas un jouet ?

 

 

à une encablure de là, j'aperçois ce semblant de chapelle, une sorte de cénotaphe dédié à la madone.

 

 

 

Pas loin de là, une jachère, les insectes de toutes sortes doivent en profiter pour se refaire une santé, c'est bon pour l'écosystème comme vous le savez.

 

 

je reprends la route et vois "atout vents", un truc d'entrepreneurs à la fibre poétique, un bon signe peut-être.

 

 

Juste à quelques mètres de là, voici une maison que je dirais, typiquement artésienne, enfin, du nord.

 

 

 

Au retour, je photographie le pont duquel j'avais pris le tracteur et la péniche à l'aller. Joli flou artistique à mon sens.

 

 

Voilà encore une maison du coin, avec cette réclame délavée pour le Pigeon Voyageur, qui serait une marque d'autobus de l'époque.

 

 

 

Une usine derrière la haie, il s'agit toujours de la même sortie, tout ça est pris le long de la départementale.

 

 

Friches à la belle mélancolie 

 

 

 

De retour chez moi, le pâté de maisons où j'habite.

 

 

Chez moi, ♥ . À la télé Maigret.

 

 

Chez moi, au fond du fond du patio, il y a ça.

 

 

Et souvent dans le canapé, celui-ci, que j'ai rarement vu chasser, une fois il avait un truc dans sa gueule,  à ma mine il n'a pas insisté et depuis plus rien que je sache.

 

Un  Tigret de toute beauté.