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23/02/2012

I peuv' te pas dir' c'qu'i veult'

« dans les radios où y’a d’la pub, i peuv’te pas dir’ c’qu’i veult‘» plaisantait un étudiant sur une radio campus de Lille. Mais alors il faudrait tout éteindre quasiment parce que la pub, que je n'aime pas non plus par ailleurs, surgit même là où on ne l’attend pas, elle peut nous arriver indirectement, par le biais de conseil gratuit en apparence, ou de conseil par exemple qui indisposent tout simplement l’auditeur, lequel le prend pour une incitation consumériste de mauvais aloi alors qu’il ne s’agit peut-être que d’une chose dite en l’air de la part d’un animateur étourdi, qui ne pensait pas à mal. Idem avec les journaux ou radios dont les responsables sont nommés par des politiques en place, s’il fallait du coup ne plus rien lire, écouter, ça deviendrait impossible. Donc, à mon avis, sans contester le fait que la pub c'est très pénible,  il ne faut néanmoins pas se laisser arrêter par elle et donc intuiter, "deviner", supputer  sur la base de ce que l’on vient de lire, d’entendre, ou de voir. Tendre l’oreille, débusquer les incohérences, les paradoxes flagrants qui en disent long, se faire un peu flic sans être parano, pas facile de faire le tri, de pister la vérité sauf, et pour le coup c’est bien dommage car révélateur de gravité patente, dans les cas qui font l’unanimité par l’ampleur de la catastrophe qu‘ils représentent, comme la Syrie où le peuple se fait massacrer… là évidemment pub ou pas, nominations non neutres politiquement, ou si, il n’y a pas de doute possible hélas sur la catastrophe humanitaire qui a lieu en Syrie. Cela dit pour en revenir à la pub, quand on "s'la pète" là aussi quelque part il y a de l'intox... en somme la vigilance est de mise tout le temps, avec soi-même, les autres... vous voyez, c'est la vie quoi.   

17:48 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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