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01/01/2012

Premier Janvier

C’est beaucoup demander une année zéro violence. Paix et fraternité, l’une induit l’autre mais je précise pour la beauté du geste et parer éventuellement un malentendu toujours possible… au cas où d’aucuns se satisferaient d’une paix de surface et continueraient, la conscience tranquille,   à harceler discrètement leurs ennemis. Je me permets de leur dire qu’à mon humble avis, rien n’est plus difficile que de se donner la paix en vérité. En témoigne le livre de John Steinbeck, La Coupe d’Or, que je lis ces jours-ci. On y voit un jeune homme pétri de désirs qui le ramènent toujours au bout du compte et d’une grande quantité de sang versé, à la fille de son village natal d’Écosse. Elle a pris de l’ascendant sur lui en raison d’un tas de facteurs complexes, sa beauté mais pas seulement. Le caractère dominateur de l‘individu épris comme on est prisonnier l‘incite à fuir mais le désir grandit en lui comme une fleur vénéneuse et il finit par en être la marionnette exterminatrice. Les choses peuvent ainsi être compliquées à l’extrême en ce qui concerne la paix. Mais j’en reviens à vous, lecteurs et lectrices de ce blog, au caractère plus facile j’espère, je vous souhaite une bonne année 2012.

10:13 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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