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29/04/2014

In quo ego...

In quo ego, non quo libenter male audiam, sed quia causam non libenter relinquo, nimium patiens et lentus existimor. (Cic., de orat., 2, 305)

 

Dans ce cas, j'accepte de passer pour trop patient et trop flegmatique, non que j'aime entendre dire du mal de moi, mais parce que j'aime encore moins abandonner ma cause.

 

Un peu d'histoire ce matin, pour bien commencer la journée.

Avec Pyrrhus.

Une victoire à la Pyrrhus est une victoire avec un coût dévastateur pour le vainqueur... http://fr.wikipedia.org/wiki/Victoire_%C3%A0_la_Pyrrhus%20

08:40 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

28/04/2014

À propos

Je me fais mon idée des anges. Mais je ne décrète rien. Juste une idée, après, il faudrait aller vérifier ce qu'en dit la Bible et comparer à ma version. Je ne connais que très peu de choses de ce gros bouquin, la Bible ; alors que j'aime l'histoire, j'ai pas mal de lacunes en ce domaine. Pas grave. Enfin,  à mon sens. Je vous parlais des anges tantôt dans mon dernier poème, comme je les rêve. Mais il m'arrive, rarement je vous rassure pour ceux d'entre vous que la chose irrationnelle impressionne, de me dire que j'en ai rencontré un, dans la vraie vie. Une fois notamment, c'était une fille. Une jeune mère de famille avec qui je me suis retrouvée au parc pour enfants de la prairie des filtres, à Toulouse. Nous avions chacune notre petit sur un manège.  C'était une question d'ondes, pas de physique à proprement parler. Son ami est venue la chercher au bout d'une demi-heure, parce qu'ils s'étaient donné rendez-vous là. Je n'ai pas éprouvé de manque ou choses de cet ordre-là, quand elle est partie ; seulement que j'étais étrangement à l'aise en sa présence. À l'aise de manière bénéfique pour moi, et j'espère pour elle, mais rien n'est moins sûr, car c'était une époque où j'avais un "cul de plomb", souvent inquiète.

 

 

Et puis, une autre fois où je me suis dit que la personne rencontrée avait quelque chose de l'ange... que c'en était un d'une certaine façon, c'est quand je me suis retrouvée jouxtant la table de Vince Taylor, à deux mètres de lui ; à Toulouse encore. Pourtant sa femme, petite blonde comme il se doit (vu le goût de Vince pour un physique particulier) était à ses côtés ou pas loin de lui en tout cas. Il n'empêche qu'à mon sens,  j'ai eu affaire à ce moment-là particulier à quelqu'un qui tenait de l'ange. Pas "un ange et un démon" etc., non, un homme entier du côté de l'ange. Je ne vais pas non plus en  ... une pendule. Mais simplement, la sensation est bonne. Tout le monde n'a pas éprouvé ce genre de sentiment à son égard ce jour-là, ou plutôt à cet instant-là de notre contact (je ne lui ai pas adressé la parole, d'autant que je ne demande d'autographe à personne, pas par vanité, juste, n'ayant pas de goût pour le star-système ; alors qu'avec la première personne-ange dont je vous ai parlé, j'ai discuté pendant une demi-heure) tout le monde n'a pas éprouvé la même chose que moi disais-je, à ce moment-là de notre rencontre, d'autant moins  que des durs tout de cuir vêtus, le prenant peut-être pour un yankee qu'il était sur le plan géographique de ses origines, ont failli s'en prendre à lui. L'agresser tout de bon. Remarquez que ces durs-là, si ça se trouve, en étaient aussi... mais Vince accaparait mon attention.

Nous l'écoutons ce matin....

 

 

 

 

 

07:33 Publié dans Musique, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

27/04/2014

Amour

À quand remonte l'amour ?

 

Au bord des routes, des anges attendent,

qui sont passés par des cercles de feu. 

Leurs vieilles âmes craquent

comme de vieux sarments.

 

 

Un chant s'amène au loin

  — à peine un bruissement de mots.

Il fut un temps où quelques sons dirent la vie,

les firent tressaillir,

repartir pour un tour.

Aujourd'hui,

ils veulent retrouver du ciel

pour reprendre la route.