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09/03/2020

Sourire du matin ♣♣♣ Point de mots durs ♣♣♣ Non plus de mots "tics'', quoique moins graves, véniels

http://diereseetlesdeux-siciles.hautetfort.com/

 

♣♣♣

 

Méditation avec les Carmes :

 

Méditons avec Gabriel Rosset

 

Quand nous nous trouvons parmi les pauvres hères dont la faiblesse physiologique et morale est encore aggravée par la maladie qui les mine et l'âge qui pèse sur leurs épaules, ce qui compte ce n'est pas ce que nous faisons pour eux, mais c'est d'être au milieu d'eux, de partager leur vie, et cela en supportant de leur part quelque incommodité. Si nous ne pouvons guère espérer les transformer, nous pouvons du moins nous transformer nous-mêmes, et suivre, oh de très loin, à petits pas cet homme bon et ce géant de la charité que fut saint Vincent de Paul. Le service des pauvres […] c'est avant tout un contact, une présence et, avec elle, une pensée vécue et vivante de l'unité et de la fraternité humaine.

 

« L'auberge de la dernière chance », in J'étais sans abri et tu m'as accueilli, p. 45

 

Pour aller plus loin

 

Entre deux personnes, ce n'est jamais le « faire » qui est le plus important. On le sait bien, des parents pourront « faire » beaucoup de choses pour leurs enfants, mais ce dont l'enfant a besoin pour grandir, c'est de présence, d'attention, d'intérêt, de compréhension, d'admiration. Toutes ces attitudes disent l'amour que l'enfant alors reconnaîtra dans tout ce que l'on « fait » pour lui. Ce qui est vrai pour l'enfant l'est pour toute personne, quels que soient son âge ou sa condition, mais surtout si sa condition est malheureuse, s'il est vulnérable.

 

Résolution

 

Avoir des paroles bienveillantes à l'égard de mes proches.

 

♣♣♣

 

Les mots-tics : j'ai lu les deux notes, celle parlant des "clusters" pour dire "foyers d'infection"; et la précédente qui parle des formules tics, telles "pas de souci."

N'ouvre la bouche qu'à bon escient, me dis-je à moi-même. Évite qu'il n'en sorte des crapauds, mais favorise plutôt la poésie... sans retomber en enfance. Chez les enfants, elle est naturelle, certes, mais étant adulte... il n'est pas forcément recommandé d'y retourner... si ?

http://lebienecrire.hautetfort.com/

08:48 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

Point de mots durs

Ne pas répondre à des attitudes dures par des mots durs disent les Carmes.

 

La Méditation des Carmes de ce matin :

 

Méditons avec Gabriel Rosset

 

Quand nous nous trouvons parmi les pauvres hères dont la faiblesse physiologique et morale est encore aggravée par la maladie qui les mine et l'âge qui pèse sur leurs épaules, ce qui compte ce n'est pas ce que nous faisons pour eux, mais c'est d'être au milieu d'eux, de partager leur vie, et cela en supportant de leur part quelque incommodité. Si nous ne pouvons guère espérer les transformer, nous pouvons du moins nous transformer nous-mêmes, et suivre, oh de très loin, à petits pas cet homme bon et ce géant de la charité que fut saint Vincent de Paul. Le service des pauvres […] c'est avant tout un contact, une présence et, avec elle, une pensée vécue et vivante de l'unité et de la fraternité humaine.

 

« L'auberge de la dernière chance », in J'étais sans abri et tu m'as accueilli, p. 45

 

Pour aller plus loin

 

Entre deux personnes, ce n'est jamais le « faire » qui est le plus important. On le sait bien, des parents pourront « faire » beaucoup de choses pour leurs enfants, mais ce dont l'enfant a besoin pour grandir, c'est de présence, d'attention, d'intérêt, de compréhension, d'admiration. Toutes ces attitudes disent l'amour que l'enfant alors reconnaîtra dans tout ce que l'on « fait » pour lui. Ce qui est vrai pour l'enfant l'est pour toute personne, quels que soient son âge ou sa condition, mais surtout si sa condition est malheureuse, s'il est vulnérable.

Résolution

Avoir des paroles bienveillantes à l'égard de mes proches.

08/03/2020

Lu ce matin

Extrait :

 

"Les Salvadoriens n’ayant connu que l’ultra-violence dans leur propre pays, dressés tout jeunes à tuer, n’avaient respecté aucune règle des autres gangs des ghettos californiens à leur arrivée. Sales, adeptes des drogues et de l’alcool, tous vêtus de noir avec les cheveux longs, jeunes fans absolus et très perturbés de heavy metal aux pratiques macabres, la MS-13 s’était vite fait une réputation avant de s’organiser en gang plus conforme niveau look à l’image des autres gangs californiens, mais avec toujours une longueur d’avance sur leur capacité de violence pure."

Intégral :

http://cathygarcia.hautetfort.com/

 

Le poème de Cathy Garcia Canalès :

 

Je ne suis pas d’ici
pas plus que d’ailleurs
dans mes veines
coule le sang de l’exil
de tous les exils
et la grave beauté
des cœurs déchirés
je ne suis pas d’ici
mais je suis là
partout
où reposent mes pieds
je suis là
partout où je marche
pas après pas
je suis là
et j’ai dans le cœur
une musique qui n’est pas d’ici
pas plus que d’ailleurs
mais que tous peuvent reconnaître
la musique de l’exil
de tous les exils
 

écrit ce jour, 5 mars 2020

cathy garcia canalès