Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/01/2020

Nous sommes tous égaux face à la délinquance

Ce journaliste dit au début de son reportage, quelquefois, le mot : étranger. Un nouveau français seconde génération lui fait remarquer "qu'est-ce que ça veut dire "étranger" ?" et le journaliste ensuite n'emploie pratiquement plus ce mot. Il dit "immigrés".

Ce journaliste fait un travail de chercheur et aboutit à la conclusion que "nous sommes tous égaux face à la délinquance". Un travail de journaliste qui va au taf.

 

Ici :

 

11:46 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)

28/01/2020

Lhasa de Sela ♣♣♣ Contre la déforestation ♣♣♣ À qui appartient l'avenir ? + Lu ce matin + autre cadeau du jour

 

♣♣♣

 

"Vénérable Frederic Irenee Baraga (1823 - 1868)

 

Il est ordonné prêtre en Slovénie en 1823 et quitte son pays au début des années 30 pour venir servir comme missionnaire chez les indiens Ojibwa et Ottawa au Michigan. Il apprend la langue des indiens, une des langues algonquiennes….

 

A partir de 1835, il parcourt de long en large le Haut Michigan la région des Grands Lacs et est surnommé par les indiens "le prêtre aux raquettes"... Il protège les indiens contre la relocalisation… Il est nommé premier évêque de cette région en 1857 et, deux ans avant sa mort, installe les quartiers généraux de ce diocèse à Marquette.

 

Le village de Baraga au Michigan porte son nom… de même que plusieurs écoles, une station de radio, des monuments…
Il est mort le 19 janvier 1868 à Marquette, Michigan, États-Unis d'Amérique.

 

Prière

 

Prions pour les peuples indigènes qui vivent coupés du monde en communion avec la création et qui sont menacés par la mondialisation et la déforestation. Qu'ils puissent être protégés par les gouvernements et accompagnés dans leur volonté de garder leurs terres et la nature."

 

Site Hozana.

 

♣♣♣

 

J'ai écouté Lhasa de Sela. Une voix "sans sucre", comme j'aime. Une personne qui creuse sa pensée. Merci pour nous !

 

Ce matin j'ai entendu à la télé à propos d'une autre chanteuse qui jouit ou subit un battage médiatique énorme, les journalistes décréter "l'avenir lui appartient", comme s'il n'appartenait pas à tous. Que va-t-on faire de ceux dont "l'avenir ne leur appartient pas" ? Face à ce genre d'abus de pouvoir  nous reste la prière.

 

Lu ce matin. En précisant que l'ici-bas et l'au-delà dont parle Michel Onfray, pour moi sont contenus dans la personne, dès que l'on se surpasse on est dans l'au-delà, qu'en penses-tu Michel ? Et quand je me plante, je suis dans l'ici-bas et je prie pour rejoindre l'au-delà sans me suicider. Et Jésus, mystère et boule de gomme, je lui parle de mon respect pour lui, tout le temps. Surtout quand je me sens en bas de moi, mauvaise, petite.

 

Extrait :

 

"Pour réfléchir à ce que pourrait être une morale post-chrétienne, rien de mieux qu'une morale pré-chrétienne ! Ne la cherchons pas chez les Grecs, qui ont tant aimé les idées et qui ont si souvent fait de la philosophie un jeu avec les mots, les idées, les concepts. Allons plutôt voir du côté de Rome qui a éduqué des générations à la vertu, au courage, à l'amitié, à la parole donnée, au sens de l'honneur, au civisme, non pas avec des concepts fumeux ou des théories incompréhensibles au commun des mortels, mais avec des exemples. Chez eux, la philosophie ne se trouve pas dans un traité complexe mais dans des histoires édifiantes qui servent d'exemples et invitent à l'imitation." 

Intégral, Michel Onfray :  

 

+++

 

L'extrait de la chronique magnifique du blog Mirefontaine :

 

"Hormis l'amour profond de Francesco, La Fortuna s'estime chanceuse d'avoir grandi au couvent, parmi des femmes. Tant d'hommes l'effraient par leur impitoyable violence envers ce qui échappe à leur contrôle : enfants, femmes, animaux. Quelles mères dominatrices, impérieuses, avaient fabriqué ces hommes-là?
Allait-elle vivre avec eux toute sa vie?

L'abnégation de La Fortuna la mènera à Porto Empedocle pour s'éloigner de cette tradition archaïque des femmes siciliennes: " Le bonheur, pour une femme digne de ce nom, c'est la maison et les enfants. Si ton mari découche, ferme ta porte du dedans: dehors, il fait ce qu'il veut."

La Fortuna crachera sur le "maschio", c'est-à-dire le mâle dont se servent les mères siciliennes pour consacrer leur importance de génitrice.

Elle choisira l'amour, l'authentique, unie à Francesco nella gioia e nel dolore. Ce qu'on nomme beauté en amour n'est autre que la forme extérieure des sentiments profonds qui nous remuent.

Elle est tout excès La Fortuna. Elle quittera la Sicile pour sauver son amour, loin de l'appât du gain ancré dans les mentalités siciliennes où les biens matériels priment sur les sentiments."

 

Intégral sur le blog de Mirontaine :

http://lemondedemirontaine.hautetfort.com/

 

Toujours à propos du même livre :

 

 

 

 

 

10/01/2020

Les vidéos du soir, les écoutes du soir

 

17:58 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)