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11/03/2008

Histoire

Le drapeau rouge... de Saint-Denis

"En 1124, l'empereur Henri V pénètre en Champagne et menace Paris. Louis alerte ses vassaux qui, tous, pour l'occasion, font taire leurs querelles. Le roi lui-même s'en va quérir sur l'autel de l'abbatiale de Saint-Denis, au nord de Paris, la bannière du saint, rouge du sang du martyr, pour la brandir en signe de ralliement. Il devient dès lors coutumier aux rois de France de brandir la bannière dans les heures de grand péril. Cette tradition sera reprise par les Parisiens sous la Révolution de sorte que le drapeau rouge deviendra aux XIXe et XXe siècles le symbole mondial des luttes révolutionnaires et ouvrières... jusqu'à être adopté par plusieurs États communistes dont la Chine !"

Le site

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19/01/2008

Le philanthropologue

« L’expérience Indienne d’Elwin avait été austère, quasiment puritaine. La vie à l’ashram était faite de prières, de jeûne, de filage au rouet, de sobriété et même d’abstinence. Chez les Gonds, par contre, il découvre un autre monde. On y boit, on y danse, on y fait l’amour. Au début, il garde en lui les idéaux Gandhiens, mais il ne tardera pas à goûter aux bienfaits de l’hédonisme et finira par idéaliser cette vie luxurieuse comme il a auparavant idolâtré Gandhi. Les relations avec ce dernier, on s’en doute aisément, devinrent plus difficiles… »

Robert Deliège

Texte intégral

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18/01/2008

Les cadences infernales

« Des cadences infernales pouvant atteindre 12 à 16 heures par jour, à raison de six journées par semaine. La révolution industrielle n’a pas fait que des heureux. Avec le développement du capitalisme et la généralisation des techniques de mesure, le principe de rationalisation du temps entre progressivement dans les moeurs. Avec son cortège d’abus, marqué par la généralisation du contrôle du travail qui coïncide avec l’essor du mouvement ouvrier. Règlements intérieurs, discipline et contraintes s’opposent peu à peu à l’autonomie des salariés.Lesquels luttent désormais de pied ferme pour la défense de leurs droits et la mise en oeuvre de la semaine de 40 heures. »

Lien de l’article c’est ici

baeab58f50bb907f7e210e535186ad02.gif« Miette domine son auditoire, il le fascine, il est maître de ses effets, et son public, docile à subir l'impression, l'aime comme les foules se mettent à aimer. La mise en scène ne joue pas un grand rôle dans les exercices de Miette : une table recouverte d'un tapis traînant jusqu'à terre, afin, probablement, de cacher les dessous et les doubles fonds, quelques gobelets, des dés, des balles, des pompons, des muscades et diverses porcelaines. »

« Miette est mort en 1855 ; il n'eût pas pardonné, de son vivant, d'oublier madame Miette, qui s'associa à son sort pendant trente-cinq ans ; elle portait un immense chapeau de paille dont les bords de devant, très rabattus, lui cachaient le visage, et se livrait silencieusement au raccommodage des porcelaines, sans jamais s'étonner des lazzi de l'escamoteur, prenant toujours le même intérêt à ses exercices. Miette habitait rue Dauphine, n° 12, et recevait avec une certaine dignité tous les artistes, littérateurs et flâneurs qui, attirés par cette grande réputation, brûlaient du désir de voir l'escamoteur dans sa vie privée. »

 La suite ici

Chanson de François Béranger, c'est ici

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