Le gang de la clé à molette d'Edward Abbey

Extrait Wikipédia :

 

"Dans le recueil de textes Un fou ordinaire, Edward Abbey se définit comme « un vrai « conservateur sauvage et utopiste, aux yeux écarquillés, au cœur sanglant » [...] qui a désormais compris qu'un système social radicalement industriel, totalement urbanisé et élégamment informatisé n'est pas apte à accueillir dignement la vie humaine¹⁰. » Il dénonce la démesure industrielle pour ses effets destructeurs sur un territoire qu'il entend préserver, à l'instar des héros de son roman Le Gang de la clé à molette, dont le mot d'ordre est : « Garder ça comme c'était »¹¹.

 

Edward Abbey a sévèrement critiqué la construction du barrage de Glen Canyon (vue aérienne).

Il pourfend notamment l'acte de « vandalisme politico-industriel » que constitue à ses yeux la construction du barrage de Glen Canyon, dans le Colorado. Parmi les justifications des défenseurs de l'ouvrage, il s'en prend tout particulièrement au développement des activités de loisir — motonautisme, pêche en élevage — rendu possible par l'amélioration de l'accessibilité des sites, où il ne voit qu'un argument fait pour plaire « à la mentalité de chaise à roulettes des riches rustauds de la classe moyenne américaine »." https://fr.wikipedia.org/wiki/Edward_Abbey

Le lierre et les arbres ♣♣♣ Le télescope Gaia

 

Selon les observations des Anciens, le lierre tue les arbres qu'il a escaladés. En ce qui concerne l'aulne glutineux derrière la maison, cela s'est vérifié, je m'en suis rendue compte tout à l'heure et donc je me ravise : contrairement à ce que je croyais, il n'a pas tenu le coup sous l'assaut du lierre. Cette année, et peut-être l'année passée idem (j'aurais dû y regarder de plus près),  pas une seule feuille ne s'est pointée au printemps sur cet arbre. Il ne reste donc plus que la carcasse, du bois mort. Donc cet arbre avait une double déveine : l'ombre qu'il projetait sur la maison voisine incommodait tous les locataires qui y sont passés et le lierre ne lui a pas fait de quartier. Il y a comme cela des êtres qui ont du mal à exister.

 

Le site sur le lierre et les arbres :

 

https://www.zoom-nature.fr/lierre-arbres-une-interaction-polemique/  

 

Un hymne aux arbres sous ces quelques lignes ;  eux aussi sont éphémères, tout passe. Le papier... c'est de l'arbre mort, nous avons tendance à l'oublier. L'arbre est monté au ciel, affranchi de ses racines et a laissé le lierre se dresser en tente pour les oiseaux. Un poème pour les arbres :

 

 

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Le travail ♣♣♣ qu'est-ce qu'une vasière intertidale ?

 

"Jacques Loew

 

Seigneur Jésus, donne-nous cette Sagesse qui juge de haut, qui prévoit de loin. Donne-nous Ton Esprit qui laisse tomber l’insignifiant en faveur de l’essentiel. En face des tâches et des obstacles apprends-nous à ne pas nous troubler, à ne pas nous agiter, mais à chercher dans la foi Ta volonté éternelle. Donne-nous l’activité calme qui sait envelopper d’un seul regard tout l’ensemble de nos tâches. Aide-nous à accepter paisiblement les contradictions, à y chercher Ton regard et à le suivre. Évite-nous l’émiettement dans le désordre, la confusion du péché. Mais donne-nous de tout aimer en liaison avec Toi. O Jésus, ô Père, ô Esprit Saint, sources de l’être, unissez-nous à Vous et à tout ce qui va dans le sens de l’éternité et de la joie.

 

Jacques Loew, Prière de sagesse dans l’action (site-catholique.fr)"

 

 

Lu sur Jubilate Deo de ce matin

 

"La sagesse qui juge de haut" implique une prise de distance, et cette prise de distance ne doit pas se faire par de la drogue, qui tire vers le bas du fait que l'on renonce à quelque chose de l'ordre de la force mentale et vitale ; cette prise de distance doit donc se faire par le haut. Et pour un chrétien, en Christ. (Voilà pour mon commentaire.)

 

 

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Les vasières intertidales :

 

http://www.seine-aval.fr/wp-content/uploads/2017/01/Vasi%...

 

Les surfaces marnantes :

 

http://www.loire-estuaire.org/accueil/un_territoire/conte...