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30/01/2020

En plein air

Employees grapple with the volume of human waste in the outdoors.

 

Les employés sont aux prises avec les déchets laissés par les humains en plein air.

 

Extrait :

 

Durant une journée en septembre, dans le parc national olympique de l'État de Washington, si vous voyez voler un hélicoptère, il ne récupère probablement pas un randonneur blessé. Très probablement, l'hélico transporte des barils remplis d'excréments. Comme de nombreux parcs, le Parc national Olympique a eu du mal à gérer un nombre toujours croissant de visiteurs - le réseau de parcs nationaux dans son ensemble a accueilli 313 millions de visiteurs en 2018, contre 281 millions en 2010 - et ce que ces visiteurs laissent derrière eux.

 

Gérer les déchets des humains dans les espaces sauvages, loin de la plomberie et des toilettes à chasse d'eau, est un défi particulier. «Je pense que c'est l'un des plus gros problèmes. . . en ce moment dans le parc », explique Larry Lack, gestionnaire du programme de sentiers chez Olympic.

 

 

 

For one day each September in Washington State’s Olympic National Park, if you see a helicopter overhead, it’s probably not retrieving an injured hiker. Most likely, the chopper is carrying barrels full of excrement. Like many parks, Olympic National Park has struggled to manage ever-increasing numbers of visitors—the national park system as a whole saw 313 million visitors in 2018, up from 281 million in 2010—as well as what those visitors leave behind


Managing the increasing volume of human waste in the backcountry, far from plumbing and flush toilets, is a particular challenge. “I think it's one of the biggest issues . . . right now in the park,” says Larry Lack, trail program manager at Olympic.

 

déchets en plein air

 

Commentaire : problème universel de recyclage des déchets. On pourrait emporter un sac à déchets lors de promenade dans la campagne, comme pour les chiens urbains, dont les maîtres ramassent leurs crottes.

 

https://www.sierraclub.org/sierra/when-nature-calls-backcountry-it-s-problem-for-parks

 

Je continue ma muscu en anglais :

 

Often, backcountry visitors are left to find their own spots to squat, but “especially in the high country . . . it's a really fragile plant community. [When] people are wandering all over trying to find a place to go, they're causing damage that can take decades to heal,” Lack says.

 

Souvent, ceux qui fréquentent les espaces sauvages doivent trouver par eux-mêmes le coin où  s'installer pour déféquer,  "surtout concernant le haut pays, où le biotope est vraiment fragile. [Quand] les gens errent en tous sens pour essayer de trouver un endroit, ils causent des dommages qui peuvent prendre des décennies à se résorber », dit Lack. 

 

 

Pit toilets—large holes in the ground covered by a wooden “throne”—are the most common, low-maintenance answer to this problem, but on Olympic National Park’s coast, privy spots come at a premium.

 

Les toilettes à fosses — de larges trous recouverts d'un "trône" en bois — sont les plus répandues, la réponse à ce problème la moins coûteuse en terme de maintenance, mais sur la côte du Parc National Olympique, les lieux d'aisance peuvent coûter plus cher.

 

The beaches here are part of the largest wild coastline in the contiguous US, and many contain important Indigenous archaeological sites. The popularity of some areas requires new holes every two or three years. “We can't keep digging holes as fast as they fill up,” says Lack.

 

Les plages ici font partie de la plus grande côte sauvage longeant les États-Unis, et beaucoup  recèlent d'importants sites archéologiques indigènes. La fréquentation de ces espaces requiert d'aménager de nombreux trous tous les deux ou trois ans. "Nous ne pouvons pas creuser des trous au même rythme qu'ils se remplissent," dit Lack.

 

On top of that, it’s unclear how long it takes, once buried, for the contents of these holes to decompose—an old Forest Service guide from 1995 suggests it can take years, even decades. Dave Conca, Olympic’s cultural resource program manager, says he wouldn’t want to set a shovel in the same place for at least half a century.

 

En plus de cela, on ne sait pas combien de temps cela peut prendre, une fois enterré, pour que le contenu de ces trous se décomposent — un vieux guide du Service forestier, de 1995, suggère que cela peut prendre des années, voire des décennies. Dave Conca [...] dit qu'il ne voudrait pas planter une pelle en un tel lieu durant au moins un demi-siècle.  

 

09:18 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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