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21/11/2019

Les chiens

L'enquête ne fait que commencer à propos de la jeune personne tuée par des chiens.

Une information pourtant a filtré au journal du matin : la victime avait rejoint son compagnon depuis peu. Il pourrait s'agir non pas des chiens des chasseurs mais des chiens de son compagnon (à vérifier). Auquel cas on pourrait déduire que leurs propres chiens n'avaient pas accepté la nouvelle venue, peut-être même que le dominant était jaloux d'elle du fait que le maître lui prêtait moins attention.

 

 

Une personne vivant dans le Var m'a dit un jour qu'elle avait moins crainte des loups que des chiens (que l'homme parfois, à son insu souvent, formate mal), notamment quand le chien est éduqué à montrer de l'hostilité à tout sujet  qui n'est pas son maître.

 Les loups, exempts de ce formatage, n'attaqueraient pas aussi facilement un être humain (sauf en cas de "loups cons", plutôt rares, repérés par certains scientifiques, alors que d'autres scientifiques qualifient le loup de "con", lorsque celui-ci renonce à attaquer un mouton, comme s'il craignait le mouton. Donc : deux systèmes d'appréciation chez les scientifiques, qui ont leurs propres sensibilités, d'où des contenus différents concernant le qualificatif  "con").

 

Le loup "con" sera celui qui a peur du mouton pour l'un, et le loup "con" sera celui qui attaque l'homme pour l'autre. Il peut y avoir des scientifiques qui trouveront "cons", l'un et l'autre spécimens.

 

N'étant pas scientifique, j'apprécie la sensibilité de celui qui a peur du mouton, vegan dans l'âme.

 

Souvenir d'une meute de chiens qui a failli m'attaquer :

 

Les animaux montraient les dents en m'encerclant alors que j'étais en promenade sur une toute petite route vicinale, environnée de propriétés agricoles, près de Mont-cucq. Je pense qu'ils étaient prêts à attaquer et donc à me tuer, les cons ! La petite voix d'un vieillard, à demi caché derrière une haie, a fait se disperser immédiatement la meute, dès les premiers sons de cette voix émise par le centenaire : frêle silhouette menue, un peu cassé, à la voix un peu grêle. Il a dit une phrase courte du genre "tranquilles, les chiens ! allez ouste !"

 

Je n'ai pas remercié le vieillard, trop  "lointain" d'une certaine façon. Il avait fait cela par devoir, ce qui est bien, mais cela restait mécanique (un mécanisme civique de bon aloi).  Je me suis hâtée sur le chemin du retour. 

 

Un chien à la fois, donc, car la meute, si l'éducation des chiens est mauvaise, c'est très dangereux pour "l'étranger(e)", plus que ça ne l'est quand il s'agit d'une meute de loups, je veux bien croire la Varoise d'adoption.

 

Une pensée solidaire pour la victime.

 

Hauts les cœurs cependant, avec cette chanson d'apprivoisement du chien. 

 

 

 

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