20/10/2019
Ouverture sur le monde et pourtant ♣♣♣ Le poème ce jour
J'ai pris en cours hier soir un reportage LCP. Il s'agissait d'enfants violés au sein de leur entourage proche ou de leur famille.
En l'occurrence, il s'agissait de familles très installées, bourgeoises. Il est cependant rappelé que ce genre de crime peut se produire dans les familles de toutes les couches sociales en France. Aucun milieu ne serait épargné.
Nous a été parlé d'un architecte très brillant qui n'était pas pédophile avant d'avoir fréquenté la Villa Médicis. Il viola ses deux derniers enfants, qui se considéraient un peu comme des jumeaux, n'ayant qu'une année d'écart. Le garçon était l'aîné. C'est donc dans le contexte d'une vie mondaine très dense que le père s'est corrompu. Le fils n'a pas survécu à cette épreuve.
Les animaux ne violent pas. Ce mal semble s'abattre sur les bipèdes. Est-ce quelque chose, dans la culture religieuse ou non, qui fait dévier ?
Ces crimes de viols d'enfants par des adultes se produisent-ils aussi par exemple dans la culture asiatique ? Sachant que bcq d'occidentaux pédophiles vont prédater des enfants là-bas, je précise que je parle ici des personnes asiatiques. Sont-elles épargnées par ce fléau quant à elles ?
Et dans d'autres cultures encore, considère-t-on cela comme un crime ?
Il me semble que cette folie criminelle provient d'un sentiment de supériorité exacerbé chez l'adulte, face au plus petit, qui fait considérer à cet adulte criminel que ce plus petit que lui n'est qu'une chose qui dépend de lui. Et ce faux dieu joue avec la chose.
Vous imaginez le danger du coup que courent les personnes handicapées dans une société où pour trois fois riens d'aucuns souffrent d'un sentiment exacerbé de leur supériorité ? Tout le monde serait égal en dignité sauf malheureusement ceux qui souffrent de ce complexe de supériorité.
Je vais rayer de mon vocabulaire, suite à cette réflexion, l'expression "c'est super !" En effet soyons attentive, ma chère, à rester humble soi-même, (je soliloque un peu par moments, croyez-vous. Mais non. Je sais que vous êtes là, lecteurs et lectrices).
À noter aussi que les personnes ayant été violées enfant, dans ce reportage, montrent des photos d'elles datant de l'époque où elles subissaient ces sévices, où elles sourient, comme si de rien n'était.
♣♣♣
Le poème ce jour est ici, à la date de ce jour (donc il vous faudra coulisser pour le trouver si vous venez demain) :
11:05 Publié dans Blog Mémo, Note, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.