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23/07/2019

Humm

Ce que j'ai vu du film ce soir :

 

Un jeune pilote de chasse anglais en 14, qui rejoint une base d'aviation. Il est inexpérimenté, n'a que 15 heures de vol.

Un pilote de l'équipe qu'il rejoint se sent malade, constamment habité par la peur, et finit par perdre les pédales.

La mort des pilotes est souvent très violente. Si certains meurent sur le coup d'une balle en pleine tête, d'autres sautent de leur avion en flamme, et entament, en torche humaine, une longue chute, pour finir carbonisés.

Un pilote allemand réussit à sauver sa peau car, côté allemand, les pilotes sont dotés de parachute. Pas de parachute côté britannique, car les décideurs ne veulent pas que les hommes, pris de panique,  s'élancent trop tôt hors de leur avion, sans finir le travail.

 

Un pilote commandant dispute la plus jeune recrue, du fait qu'il rejoint les mécaniciens pour manger avec eux  et non avec ses collègues pilotes, et ce, pour mieux cuver le chagrin d'avoir perdu un ami en vol. Son supérieur  considère qu'il s'humilie en fraternisant avec des mécaniciens. Problème de caste en quelque sorte.

 

Les hommes se passent des images de femmes nues, et traitent de grosse vache une prostituée bien en chair. Corps des femmes livrés en pâture.

Un des pilotes est homosexuel et, amoureux platonique de la jeune recrue se dit, à un moment, content que la guerre lui ait permis de garder sa moto qui, sinon, aurait fini à la casse. Il est marié et n'a pas l'air de tenir à sa femme.

 

Hommes pilotes envoyés à la boucherie. Femmes prostituées apparemment dans la joie.

Les humbles mécaniciens font bien leur travail, toujours dans les coulisses du théâtre de guerre. Mais ils ont méprisés par des pilotes dont pourtant la condition est bien moins enviable.

 

Cela renvoie à  une certaine absurdité mais le courage des héros est indéniable.

23:06 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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