07/02/2019
Apprécié ♣♣♣ le gilet jaune
J'ai apprécié l'humour dans l'émission mise en post précédemment. Cela fait du bien de rire de bon cœur. Rire nerveusement équivaut à pleurer mais avec cette émission, c'est le rire léger, qui libère.
Il y avait dans cette émission "les trois mousquetaires", plus un, en face, qui les regardait avec bienveillance. Quand l'un des trois mousquetaires, se retenant de se plaindre du sort de plus en plus dur que de nombreux quidams réservent aux handicapés a dit :
"Je ne veux pas jouer les vieux cons... ce serait prématuré..mais ..."
Mais trop c'est trop en terme de non respect parfois.
Le rire était bon enfant selon l'expression consacrée.
Où l'on parlait d'altruisme et d'autres choses encore.
Matthieu Ricart a dit qu'autour de son ermitage une panthère se promène et donc, a-t-il ajouté, la peur peut être salutaire... Il explique comment faire avec la peur ensuite.
Les humoristes qui sont altruistes ont le goût de dégager l'autre pour un bon moment des pesanteurs qui peuvent aller jusqu'à le faire souffrir beaucoup.
Regardez cette émission mise en ligne le post précédent. M'est avis que vous prendrez du bon temps, celui qui permet de souffler.
♣♣♣
D'aucuns disent "mouiller la chemise", pour l'occasion je dirai "mouiller le gilet". Ils se sont battus, pour beaucoup ils ont été altruistes. En seront-ils récompensés ?
J'ai jeté une oreille rapide du côté de la radio... où aux infos, on leur faisait porter le chapeau de la dette machin. J'ai éteint la radio.
En ne remettant pas les pièges sur les autoroutes, que des gilets jaunes ont parfois cassé dans un acte de résistance héroïque, l'État fera des économies. Je parle des machins inutiles qui font payer la dette écologique aux désargentés. Désargentés comme désenchantés de l'altruisme ils risquent de devenir ces courageux gilets jaunes, vu la réaction de masse des journalistes autorisés à parler dans les micros contre ceux qui ont mouillé le gilet. Mouillé le gilet de l'intérieur : je ne parle pas de ceux qui leur ont balancé de l'eau, froide bien entendu, en plein hiver. Ils ont le goût de l'effort ces gilets, on ne peut pas leur enlever cela.
Sur ce, je vais immédiatement me décrampir grâce à un moine, qui porte, comme par hasard, une tunique jaune (est-il besoin de dire que je plaisante ?) :
08:20 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)
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