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16/01/2019

C'était en 2014

 

Grève des dockers dans le pays de Jules Durand, c'est daté mais cela a toujours l'air d'actualité :

 

https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/video-les-dock...

 

 

 

https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/video-les-dock...

 

Docker fantôme sur les docks de Calais :

 

https://www.liberation.fr/societe/2003/06/02/docker-fanto...

 

Des conditions de travail dans l'entre-deux-guerres :

 

"À Boulogne, dans l’entre-deux-guerres, les contremaîtres ont l’habitude de lancer des pelles aux ouvriers qui doivent s’en emparer le plus vite possible et aller les planter, en guise de marquage territorial, aux meilleurs endroits du chantier." lu dans un article du CAIRN :

https://www.cairn.info/revue-geneses-2001-1-page-5.htm

 

Carnet de route d'un soldat durant la drôle de guerre ;

https://journals.openedition.org/chrhc/885

 

À propos de racisme social :

http://www.peripherie.asso.fr/patrimoine-representations-...

 

 Boulogne durant la première guerre mondiale  :

 

"En 1917, 2 000 Chinois arrivent aussi à Boulogne, à la suite d’un accord signé entre la Chine, qui vient de déclarer la guerre à l’Allemagne, et la Grande-Bretagne. Les conditions de vie et de travail sont rudes. Aussi, en septembre 1917, éclate une « mutinerie » des travailleurs coloniaux et chinois, durement réprimée par l’armée : une vingtaine d’entre eux sont tués, près de quarante blessés.

 

9 Les Britanniques occupent plus de la moitié des 3 400 mètres de quais, à la suite d’accords négociés avec les autorités consulaires françaises : ils utilisent tout le bassin Loubet, où ils dressent une estacade supplémentaire, et une partie du bassin à flot, puis le quai Chanzy. Plusieurs dizaines de hangars et d’entrepôts, qui couvrent quelque 3 hectares, sont construits sur le port qui compte, en 1918, 71 grues, dont une douzaine d’anglaises, plus perfectionnées. En ville, au casino d’abord, puis dans les hôtels, dans l’ancien collège des jésuites, dans des entrepôts et enfin dans des camps sanitaires sous tentes, les Britanniques aménagent des formations sanitaires, encadrées par un millier de membres du personnel médical, qui peuvent accueillir jusqu’à 2 000 blessés en une seule journée. Certains soldats intransportables outre-Manche sont soignés sur place, mais, gravement touchés, ils connaissent une forte mortalité. Il y a aussi dix hôpitaux pour les soldats français."

https://books.openedition.org/septentrion/7598?lang=fr

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