Lu à l'instant, en ce 3 janvier

 

"A toi, je donne le réconfort de la vision. A tous, je donne le moyen de désirer me connaître. Et si une fois encore elle ne sert à rien, si, comme des enfants cruels, ils rejettent le don sans en comprendre la valeur, à toi, mon don restera et à eux ira mon indignation. Je pourrai, une fois encore leur faire cet ancien re­proche : “ Nous avons joué de la flûte et vous n’avez pas dansé. Nous avons entonné des lamentations et vous n’avez pas pleuré. ”
       Mais peu n’importe. Laissons les “ inconvertibles ” accumuler sur leurs têtes des charbons ardents et tournons-nous vers les brebis qui cherchent à connaître le Pasteur. Le Pasteur, c’est moi et tu es la houlette qui les conduit à moi. »

 

Commentaire : le "toi" désigne ici Maria Valtorta, à qui se montre le Christ. Les "inconvertibles" sont les insensibles. Ne pas sentir ou ne pas éprouver de sentiments, ici, qui puissent attendrir et faire participer.

On se rend vulnérable par là même et c'est un risque. Il peut arriver que ce soit un risque de prendre un grand raccourci pour l'autre monde si, de l'autre côté, on profite de l'ouverture pour vous seriner. Mais vous partez en bonne compagnie, cela dit.