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26/11/2018

L'économie de marché

 

C'est ici

 

"Le créancier a un droit de créance, qui constitue une obligation pour le débiteur. Ce droit personnel donne au créancier le droit d'exiger du débiteur l'exécution d'une prestation. Par exemple, Martin a emprunté 2 000 € à Victor. Le créancier, Victor, a un droit personnel : une créance de 2 000 € sur Martin."

 

Le site de Marie de Nazareth aborde des thèmes sociétaux de toutes sortes. Sur ce site, je me mets au courant de choses complexes appartenant à l'univers de la finance pour comprendre de quoi il retourne. Parfois c'est trop pointu pour moi mais heureusement le Web fournit les définitions qui permettent de comprendre le jargon. Sans cela, je serais chez les martiens. 

 

Extrait (où on n'aborde pas encore les complexités du monde de la finance) :

 

"Les régimes communistes et les systèmes marxistes ont systématiquement bafoué cette dignité et c’est pourquoi l’Église les a toujours condamnés

 

Si l’on part d’une conception erronée de la personne, on a nécessairement une conception erronée de la société. C’est ce qui a conduit l’Église à condamner tout à fait clairement le marxisme et les régimes de ce que Léon XIII a appelé « socialisme » à son époque, mais qui voulait dire « marxisme », ou ce que Jean-Paul II appelait le « socialisme réel », parce qu’il repose sur une « erreur anthropologique » (c’est une expression de Jean-Paul II dans Centesimus Annus) – une « erreur » à propos de la conception même de la personne. L’idée, dans la pensée marxiste, est que l’homme, au fond, n’a pas besoin de liberté : il n’a de sens que par son appartenance de groupe ou de classe et, du coup, il est non seulement privé de ses droits, mais même de sa possibilité de véritables choix moraux.

 

Le rejet de ces régimes ne signifie pas pour autant une totale acceptation de l’économie de marché

 

En considérant tous ces textes de l’Église – dont le plus long sur ce sujet est un texte de Pie XI en 1937, Divini Redemptoris, qui condamne le communisme – on s’est demandé si, du coup, l’Église acceptait le système qui a été opposé au marxisme : le système de l’économie de marché ou capitaliste. Il y a quelques années, quand Jean-Paul II avait publié Centesimus Annus, un cardinal français avait dit : « L’Église a donné l’extrême onction au marxisme, mais va-t-elle pour autant baptiser le capitalisme » ? Mais, en appliquant les mêmes critères d’analyse à l’économie de marché, l’Église opère un discernement et conclut sur une position nuancée."

 

Je suis allée plus loin, dans les explications ayant trait à l'économie de marché et j'ai buté sur les expressions "dettes liquides et exigibles", rapport aux subprimes. Interrogeant le Web, j'ai atterri  sur une autre expression, explicitant la précédente. On nage dans l'univers impitoyable  de Dallas, l'univers des sous à gogo  circulant et se bloquant, faute à la tromperie ; et qui paie les pots cassés ? Ceux "d'en bas", si je regarde bien le monde qui nous entoure. Si j'ai bien compris, dans l'histoire des crédits immobiliers, des subprimes, la créance n'avait pas de fondement... ce qui a créé une "bulle" et un effondrement du marché. Dès lors que la méfiance s'installe, tout se grippe, y compris dans l'univers de l'économie de marché capitaliste.

La définition :

 

https://lesexpertsdurecouvrement.com/glossary/creance-cer...

 

 

 

 

 

16:46 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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