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30/05/2018

Photos du jour ♣♣♣ Lecture du jour ♣♣♣ À la tour Bon Bec

 

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Oui ! une limace sur le rebord du pot que j'ai rentré hier afin que l'avocatier ne soit pas noyé de pluie. La limace n'a pas dévoré l'avocatier.

 

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Après le visionnage de cette photo (qui m'a fait sursauter, car en prenant ce cliché je ne la voyais pas ( : d'où que la photo éduque le regard)), je suis allée voir si l'avocatier était indemne et c'est le cas. J'ai cherché la limace partout, elle avait disparu.

 

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Bella Nono à la démarche hésitante en ces temps conflictuels avec Yoko. Mais ils en ont vu d'autres, et s'acceptent au fond.

 

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Le tortionnaire, heureusement pas si méchant que cela envers sa sœur.

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Senecio, la méditerranéenne, semble jeter un coup d'œil par la fenêtre.

 

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Senecio dans toute sa splendeur.

 

 

 

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Quand on lit ce livre qui embrasse plusieurs époques... que dire sur le coup ? sinon Respect.

 

 

 

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Postures fréquentes en Yoga de chat.

 

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♣♣♣

 

Je m'intéresse au yoga et au qi gong, que je pratique, pour autant je me souviens de celle qui m'a pris la main, petite (j'avais 3 à 4 ans), du nom de sœur Sénaïde, et m'a emmenée vers la ronde qui tournait dans la cour de récré des petits. Je voulais pas au début ! J'étais archi nouée, crispée et douloureuse et, ma main dans la sienne,  j'y suis allée sans me traîner, légère comme un oiseau, et ensuite, c'est allé tout seul : je me suis fait des copines. Comment oublier ?

 

Lu sur Jubilate :
 

"Morceaux choisis – 784 / Benoît XVI

 

"Benoît XVI

Le geste de prière chrétien fondamental est le signe de la croix. Il exprime corporellement notre foi dans le Christ. Le signe de la croix est une profession de foi, c’est un oui visible et public à Celui qui, dans Sa chair, a manifesté jusqu’à l’extrême l’amour de Dieu, à Celui qui a souffert pour nous et qui est ressuscité, à Celui qui a transformé le signe de la honte en un  signe de victoire, en un signe de la présence de l’amour de Dieu. Le signe de la croix est une profession d’espérance: je crois en Celui qui, dans Sa faiblesse, est le Tout-Puissant, en Celui qui, dans Son absence et Son impuissance apparentes, peut et va me sauver.

En nous signant, nous nous mettons sous la protection de la croix, nous la portons tel un bouclier qui nous abrite dans nos tribulations quotidiennes et nous transmet Sa force. Le signe de la croix désigne aussi le chemin à suivre. La croix nous montre la voie et la vie, l’imitation du Christ. Chaque fois que nous faisons le signe de la croix, nous adhérons à nouveau à la foi de notre baptême.

Du haut de la croix, le Christ nous attire en quelque sorte à Lui. Nous nous signons pour nous placer sous la bénédiction de Jésus Christ; nous signons de la croix les hommes sur lesquels nous appelons la bénédiction de Dieu. Par la croix, nous pouvons devenir les uns pour les autres, des sources de bénédiction.

Benoît XVI, L’Esprit de la liturgie, dans: Peter John Cameron, Benedictus – Une année avec Benoît XVI (Magnificat, 2007)""

 

 

♣♣♣

 

Un texte cadeau puisque traduit en anglais par un expert de la langue !

Le lien sous l'extrait. Où il est question de la torture au moyen-âge durant lequel on n'aurait pas autant torturé qu'on ne le pense. Juste de temps à autre, mais là, ça bardait ! Enfin la torture, comme déjà dit, au moyen-âge, n'était pas si courante d'après l'article dans La vie des Idées ; les siècles qui suivirent furent pires sans doute, avec les aliénations mentales et ou  le chantage à la survie (car il fallait bien se nourrir), entraînant travail à la chaîne et autres genres de torture comme la placardisation, la stigmatisation, le lynchage médiatique, les abus de pouvoir(s) de tous ordres sous couvert soit d'humour, soit de bien pensance (mais là aussi relativisons car ce n'était pas le régime des Poilus non plus, ni la grande voiture noire qui embarque toute une famille un soir et qu'on ne reverra plus jamais. Quoique, je pense qu'une dépression causée par des abus ou pressions récurrentes sur une personne, genre harcèlement, puisse devenir létale à la longue). La torture au Moyen-âge, extrait et lien dessous : 

 

"Une fois la sentence interlocutoire de la question prononcée, on amenait le prévenu en un lieu spécial - pour le Parlement, il s’agissait de la tour Bonbec à la Conciergerie (ainsi baptisée parce qu’on y avait «  bon bec  », autrement dit que l’on y était invité à parler), et pour le Châtelet, d’une chambre spéciale de la question. Ailleurs, c’est-à-dire pour les juridictions inférieures, urbaines ou seigneuriales, qui jugeaient en première instance, il s’agissait généralement de la prison.

L’exécuteur des «  hautes œuvres  » n’était autre que le bourreau, à moins qu’il ne s’agisse du geôlier ou d’un sergent du roi, mais il n’y a guère qu’à la capitale que le métier de tortionnaire se professionnalise au début du XVe siècle. Au Châtelet notamment, un sergent à verge dont les connaissances en anatomie se précisent au fil du siècle se voit attribuer le rôle de «  tourmenteur  » (en parallèle de ses fonctions habituelles), puis la qualité de «  questionneur  » devient un office à part entière à la fin du XVe siècle."

 

http://www.booksandideas.net/Facing-the-Question.html

 

Commentaire : où je me suis rendue compte à la relecture que j'ai utilisé dans mes lignes d'introduction, le temps du passé pour parler de notre siècle également.... comme si je voyais déjà les avanies et catastrophes comme passées.

 

 

 

 

 

12:45 Publié dans Lecture, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)

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