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09/11/2017

Ils parlent du blues et le chantent ♣♣♣ le caKoyo

 

 

♣♣♣

 

Le cakoyo est le verlan du jour.

 

Lecakoyo

 

Pour savoir où se trouve un téléphone portable égaré dans la maison, on le fait sonner à partir du fixe. Pour savoir où se trouve le Koyo pas forcément égaré dans la maison mais invisible, il suffit dirait-on que je m'assois devant l'ordi sauf en cas d'endormissement profond du koyo. Ce matin donc à peine installée à l'ordi, il arrive avec le même mélange d'effarement et d'exaltation, plus une touche d'agent 007 tout à son affaire. Une fois les mollets frôlés : minauderies, de minet (étymologiquement parlant), sons de gorge exprimant le reproche indulgent et installation sur mes genoux, plutôt la région des cuisses où il s'applique à peser lourd à moins qu'il n'ait grossi. Le cakoyo m'amène à penser qu'un robot à intelligence artificielle très pointue : multilingue et super matheux, ne peut pas faire ça. Sauf s'il se détraquait ? Mais  Koyo n'est pas un détraqué, il s'invente juste des choses à propos de l'ordinateur visiblement.

Vus à la télé un oiseau, même en train de chanter, un papillon, voletant et donc tentateur, le seul animal qu'il chasse, avec les araignées, ne l'intéressent pas... à l'écran ce n'est pas pour de vrai selon lui, donc il ignore. Mais pour l'ordi.... que se passe-t-il dans sa petite tête d'animal humain ?

 

 

09:13 Publié dans Musique, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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