Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/05/2017

de fil en aiguille

 

Après avoir visionné  le chapelet à lourdes post précédent,  j'ai cliqué sur la vidéo du film Fatima, à propos de l'apparition de Marie à trois enfants bergers portugais vers les années 1920. Et j'ai repensé au livre "Au bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré" de Paulo Coehlo, où le séminariste guérisseur, veut abandonner son don, le rendre à Marie en quelque sorte,  afin d'épargner sa fiancée, une fois redevenu citoyen ordinaire, de souffrances que l'on pourrait lui faire  endurer à elle à cause d'une foi qui se manifesterait aussi ostensiblement chez son mari, par des miracles.  Effectivement, dans le film Fatima on voit les familles des enfants accusées de troubles à l'ordre public... les enfants sont conduits en prison à un moment donné, où on les torture moralement. Le 13 octobre 1923 (date à vérifier), rendez-vous est donné aux enfants par l'apparition, la mère de Jésus, à un lieu donné, un miracle a été promis. Le jour J, les parents demandent à leur trois enfants de se confesser, car si jamais le miracle n'avait pas lieu, ils craignent le lynchage...  Heureusement pour eux,  le miracle a lieu, beaucoup de malades sont guéris. Ceux qui ne font pas partie du lot pourraient avoir de la rancœur, à moins de se dire que ce signe fort les concerne aussi, pour un autre jour ou dans l'au-delà. Toujours au sujet des souffrances, la mère de Jésus avait prévenu les enfants qu'ils auraient à en endurer à cause de leur témoignage. Ont-il mal interprété ? Toujours est-il que par esprit de sacrifice, un jour,  ils se passèrent une corde autour du ventre afin de s'infliger une souffrance corporelle... 

  Revenons au miracle du 13 octobre... il avait beaucoup plu, le sol était gorgé d'eau, la foule pataugeait dans la boue, et soudain un soleil ardent et qui bouge fortement apparaît, outre les nombreuses guérisons. Le sol devient sec en un instant et même les habits éclaboussés redeviennent sur le champ, comme "avant la boue". La foule s'est prosternée.

J'ai ensuite cliqué sur un documentaire à ce sujet où il est dit qu'un journal franc-maçon portugais reconnaissait que leurs membres en étaient retournés. Des scientifiques vinrent sur les lieux et trouvèrent une terre anormalement chaude comme si on avait largué dans le secteur une bombe d'une énergie très puissante... or il n'y a pas eu de tués,  personne ne fut calciné ... d'aucuns auront certainement évoqué la visite d'extra terrestres, facteur commun avec la mère de Jésus, qui vient du ciel rendre visite à ces enfants.

 

 

 

 

20:24 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

Maryse n'a pas le melon quand elle parle de melons ♣♣♣ Cela s'est passé le 19 mai 2017

 D'où la provenance du melon ? Et quels melons ! qui donnent envie d'être dévorés "tout crus" (expression  à la noix s'agissant de melons mais je me laisse emporter par mon enthousiasme pour cette note de Maryse qui fait un peu de bonne pub pour l'agriculture du Maroc). C'est ici :

 

http://tisanesplaisir.hautetfort.com/archive/2017/05/17/m...

 

♣♣♣

 

Cela (le rosaire) s'est passé le 19 mai 2017. J'écoutais Pépée de Léo Ferré, que j'avais re-bissé, et voilà que je vois apparaître parmi les  quatre vidéos proposées ensuite, le rosaire à Lourdes. Bon, eh bien je m'en vais prier avec eux avant ma gymnastique  du matin. Yoko doit le sentir ... il ne va pas sur son tapis à lui de "contemplation" de gymnastique.

Le rosaire :

 

 

 

08:11 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)