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24/11/2014

La tirade du nez — Greenpeace, vidéo

Je vais chercher l'orthographe des noms de Goscinny et Uderzo sur qui a été fait un reportage, par Arté, je tombe d'abord sur beau dessin d'Astérix et Obélix, fabuleux... je clique pour voir l'album proposé, il n'est plus question d'eux dès les pages suivantes, mais de différentes animations consacrées aux enfants. Concernant le reportage j'ai été un peu surprise par l'épisode qu'ont connu les auteurs de la BD, (qui ont accompli c'est vrai un travail monstre), Udrzo raconte avoir été agressé par "des jeunes chevelus, des jeunes cons de mai 68" qui les ont traités de bourgeois. Uderzo de s'insurger comme un patron quelque part car dit-il quelque chose du genre "ça fait bouffer beaucoup de monde" et peut-être quelques-uns parmi les jeunes chevelus. Revenir sur le talent des deux dessinateurs, leur verve, le message du départ, pacifiste, je ne le ferai pas. Par contre, méfiance  dès lors qu'il y a industrialisation d'un produit. "C'est de la jalousie" de la part de ces jeunes d'alors dit Uderzo, moi je pense qu'il s'agissait vraiment d'espoir à plus de reconnaissance d'autres talents car dès lors que l'industrialisation établit ses écuries, elle noyaute, et ne donne plus sa chance à d'autres ou ne laisse pas germer d'autres talents de dessinateurs... je ne dirai pas "touche pas au grisbi !" mais il y a quand même une question de galette qu'on ne veut plus partager à un moment donné alors que dans un autre système, certes créant moins d'enrichissement personnel du point de vue de la tune, la reconnaissance des autres resterait possible. Voilà je pense de quoi il était question pour les jeunes d'alors. Et puis,  qu'en a fait le cinéma... une question d'argent aussi d'après les extraits que j'en ai vus. Donc on  en arrive à ce que dénonce notamment Féval : des choses belles à l'origine, peuvent tourner en eau de boudin quand les questions d'argent deviennent envahissantes... le système capitaliste en question.

 

Autre chose vue à la télé : madame Lepen. Eh bien sur la question des écologistes du sud-Ouest et de Bretagne : pas un mot pour déplorer la mort du jeune Fraisse. Quelle dureté ! Pas un mot sur la méthode, malgré la vidéo, du lâche encerclement des jeunes, de leur enfumage massif, alors qu'à la base ils étaient pacifistes.  "L'autorité" dit-elle, comme si les citoyens étaient de petits enfants. 

 

Autre chose vue aux infos : d'aucuns souhaiteraient un métro entre Calais et l'Angleterre afin que des français aillent bosser dans un secteur marchand qui fonctionne bien. Beaucoup de chômage à Calais, très peu chez les Anglais. Est-ce bien certain ? Pas d'Anglais au chômage, les Français peuvent y aller sans leur faire d'ombre ? Farce ou pas d'une droite qui fait fi des locaux ?

 

Dernière chose.  Dans l'album où je croyais découvrir des dessins d'Uderzo et Goscinny (j'aime le peps de ces dessins, dessiner en général requiert une intelligence certaine mais qui comme la langue peut avoir son  tranchant dangereux), en "feuilletant" cet album, j'ai trouvé une vidéo de la tirade du nez, dite par  le surdoué de la mémoire, Depardieu.  J'aime la tirade en ce qu'elle muscle admirablement la mémoire grâce à ses rimes. J'ai noté au passage que l'auteur associait   lettres et esprit : vous n'avez pas de répartie, vous êtes un sot...  La langue peut guérir, libérer, la langue peut aussi tuer d'une certaine façon.   Il existe des silences plein d'esprit... où se révèle quelque chose qui sinon n'aurait pas émergé.   En tous les domaines le génie ou son contraire peuvent se manifester... dans les Lettres comme ailleurs.

 

Voilà, le point est fait. Neurones, reposez en paix.

Et délassez-vous, et mémorisez avec aujourd'hui la tirade du nez :

 

 

 

Ecologie maintenant :

 

 

aux dépens de la volonté citoyenne.jpg

 

 

"Lors d’une action non-violente menée en Espagne au large des îles Canaries ce matin, des bateaux de la marine espagnole se sont violemment interposés entre les zodiacs de Greenpeace et un navire de forage pétrolier de l’entreprise Repsol. " Intégral

 

 

Vidéo :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

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