24/02/2014
Le destin
Le destin
La clef des champs, ne se prend pas avec le fusil et pourtant,
tout à la joie de respirer le grand air n'oublie pas,
toujours possible, la faucheuse étourdie,
la mâchoire ricanant en silence,
d'un rire qu'on devine celui d'une hyène,
quand soudain l'envie lui prend de tuer,
faute de savoir faire autre chose.
Je dédie ce poème à la Mouchette de Bernanos, celle d'Une nouvelle histoire de Mouchette.
17:56 Publié dans Mes poèmes en ligne | Lien permanent | Commentaires (0)
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