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25/10/2013

ignorance, ou pas

Il y a la connaissance joyeuse, le Gai Savoir épicurien et puis l'information à laquelle, je pense, il faut se confronter à doses modérées, du fait du sentiment d'impuissance qu'elle peut donner en même temps que celui d'asphyxie.  Après avoir vu les reportages sur la 2 hier : les gens prisonniers au Qatar (au sujet de l'esclavage moderne il y a eu un reportage édifiant à la radio, où l'on entend le témoignage  d'Indiens à qui on a pris les papiers d'identité, et qui travaillent dans des conditions effroyables à Dubaï), et ceux qui vivent dans des placards à Hong Kong ; après avoir lu ce matin les quelques lignes ci-dessous, je serai obligée de faire une pause concernant les piqûres de rappel. Vous n'êtes pas obligés de lire ce qui suit.

"La condition humaine d'André Malraux

 

 

 

 

En mars 1927, l'Armée révolutionnaire du Kuomintang sous le commandement de Tchang Kaï-Chek est en marche vers Shanghai. Afin de faciliter la prise de la ville, dont le port représente un important point stratégique, les cellules communistes de la ville préparent le soulèvement des ouvriers locaux. Mais inquiet de la puissance de ces derniers et gêné dans sa quête de pouvoir personnelle, Thang Kaï Chek se retourne contre les communistes. Aidé en cela par les Occidentaux occupant les concessions, qui espèrent l'éclatement du Kuomintang, et les milieux d'affaires chinois, il fait assassiner le 12 avril 1927 des milliers d'ouvriers et dirigeants communistes par la Bande Verte, une société criminelle secrète." Wikipedia

 

Extrait d’un autre résumé de La condition humaine de Malraux, sur un autre site :

 

"Sixième partie :

 

Kyo est jeté dans une prison répugnante. Il comparait devant König, le chef de police qui a refusé sa libération. Ce dernier veut absolument faire perdre à Kyo sa dignité : où il trahit les siens, où il sera livré à la torture . Kyo refuse de collaborer et rejoint sous le préau, ses camarades communistes qui attendent d’être brûlés vifs dans la chaudière d’une locomotive. Kyo retrouve Katow. Kyo évite le supplice en se suicidant avec le cyanure qu’il dissimulait sur lui. Katow, lui , donne son cyanure à deux jeunes chinois complètement terrorisés par le sort qui les attend et marche, plein de dignité, vers le supplice . Clappique parvient à se déguiser en marin et à s’embarquer sur un bateau en partance pour la France."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09:12 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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