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03/09/2013

Le chemin des morts de françois Sureau

"L'histoire que nous conte dès lors François Sureau, celle d'un certain Javier Ibarrategui qui demande à la France de le protéger parce qu'il craint d'être liquidé par les milices paramilitaires secrètes mises en place pour lutter contre l'ETA à laquelle il a adhéré, oblige plus ou moins directement les gardiens du droit de choisir leur camp ou plutôt, de choisir quel sera le chemin des morts qu'ils emprunteront.
Jamais ils ne sauront s'ils ont emprunté le bon (cf. p. 53), même si le narrateur estime que, lui, s'est trompé, puisque l'homme sur le dossier duquel il a dû statuer a été effectivement assassiné comme tant d'autres par les tueurs de l'État espagnol et que, du reste, la «faute a des pouvoirs que l'amour n'a pas» (p. 54), bien que le narrateur espère qu'à l'heure où il mourra, ce sera cet homme et pas un autre, celui qu'il n'a pu ou voulu sauver, qui se trouvera, pour l'attendre et peut-être lui pardonner, de l'autre côté de la frontière." Intégral :

http://www.juanasensio.com/archive/2013/09/02/le-chemin-d...

 

 

"The best and most beautiful things in this world cannot be seen or even touched. They must be felt with the heart."
~ Helen Keller

12:11 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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