31/12/2012
Moby Dick
J’ai suivi Moby Dick l’autre jour, malgré tout. Je me souviens du poisson blanc gigantesque qui d’un coup, a fait une apparition sur les eaux, monument de haine prêt à s’abattre sur ses ennemis. Inoubliable. Le vieux loup de mer ne se laissa pas impressionner ; son second ne parviendra jamais à le rappeler à la raison, le vieil homme était condamné d’avance, son destin scellé et celui de quiconque le suivrait. Le lour de mer était sous l’emprise de la haine du cachalot, entité surnaturelle d’une volonté de vengeance. Haine incommensurable, propre à déchaîner les éléments, à la mesure même de l’amour que l’animal portait à sa femelle et à ses petits. C’est vrai que les hommes ont l’air mesquins en regard de l’innocence des baleines… Quel bon film ! Au fait, passez une belle soirée, et bonne année 2013 !
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