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23/10/2012

selon le principe que "moins il y en avait, mieux c’était”

The Red Riding, vu hier soir à la télé, la critique des Inrocks, le lien sous l'extrait pour le texte intégral : 

 "Tirée du Quatuor du Yorkshire, tétralogie à la Ellroy de David Peace, The Red Riding est devenue une trilogie télévisuelle. Une minisérie qui est plus à sa place dans les salles obscures. C’est précisément grâce à son économie (de moyens) télévisuelle que la trilogie tranche avec les habitudes. Dans Red Riding, on fait tabula rasa des affèteries du polar britannique, remplacées par une approche fruste, un style proche du troublant The Offence de Sydney Lumet. Un film de référence pour la production : “L’austérité de ses décors et extérieurs reflète parfaitement cette époque. Nous avons décidé de nous en inspirer et de travailler selon le principe que moins il y en avait, mieux c’était”, explique la productrice Anita Overland. La réussite de cette trilogie où “less is more” tient aussi à son sujet : en gros, la corruption policière à grande échelle au nord de l’Angleterre, au moment où des séries de meurtres défrayaient la chronique (comme dans l’affaire de l’éventreur du Yorkshire). The Red Riding est un tableau au vitriol de l’Angleterre thatchérienne, où le marasme social et politique atteignait son paroxysme." Intégral, lien ci-dessous :

http://www.lesinrocks.com/cinema/films-a-l-affiche/the-red-riding-trilogy/

 

15:50 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

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