07/12/2009
Lorand Gaspar
"Atteindre la langue de Lorand Gaspar, c’est faire la lumière non sur le secret mais sur son origine."
" Entre le temps qui n’existe plus, et le paysage arrêté.
Son œil de pierre aveugle,
Celui de l’appareil photo, ou l’œil d’encre
Du poème arrêté. "
"Le poète constate qu’il voit à travers la photographie la déchéance du corps dans lequel il va falloir vivre malgré tout. Après la mort, le corps redevient poussière, il épouse le sol qu’il a tant marché."
Par Marina Ondo : http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1336
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