14/10/2009
Un pavé dans la mare
Je suis très exactement arrivée à la page 411 de Azteca de Gary Jennings et je dois dire que le personnage principal, un homme d’Amérique du sud racontant sa vie à divers religieux catholiques évidemment très inquisiteurs et qui jouent les ethnologues (afin que Charles Quint sache à quoi s’en tenir à propos de ses nouveaux sujets), me semble être de plus en plus une projection de l’auteur, un fantasme. Gary Jennings se cache derrière son personnage, par moment, pour faire passer dirait-on ses propres idées assez retorses. Mauvaise interprétation ? Quoi qu’il en soit, je le ressens ainsi. De plus, son second appelé gourmand de sang est carrément macho. Une misogynie à vous faire lire en diagonale au point que je sens que mon pavé sera avalé d’ici ce soir.
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