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09/10/2009

Autrement dit :"Je sens donc je suis"

arton855-fb5a2.jpg« Là où ça sent la merde, ça sent l’être »

 « …. Spécialiste des sociétés Nahuas, Lopez Austin met en scène un mélange d’histoires recueillies depuis la période préhispanique jusqu’à nos jours, issues de sources documentaires éparses et souvent inattendues (chroniques espagnoles du XVIe siècle, données ethnographiques et folkloriques, littérature préhispanique...), qui lui permet de quitter le discours anthropologique convenu et d’observer, à partir de la question de la merde, des pans entiers de l’extrême diversité et complexité de la culture mésoaméricaine. Il ne se contente pas, par exemple, de repérer le poids parfois écrasant de l’histoire coloniale dans le modelage des mentalités indiennes passées et actuelles et préfère faire grand cas des aspects inconscients et collectifs des représentations indigènes qui, pour ce qui concerne la merde, passent d’un peuple à l’autre, d’une langue à l’autre se répétant à l’envi et, précise-t-il, de mille manières différentes … »

http://laviedesidees.fr/La-merde-dans-tous-ses-etats.html

 

10:33 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

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