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04/05/2009

Elle s’appelle Carol Anne Duffy

Extrait :

...

The night before, we met again, to unsay
unbearable farewells, to see
our eyes brighten with re-strung tears.
O I had my sudden wish -
though I barely knew you -
to stand at the door of your house,
feeling my heartbeat calm,
as they carried you in, home, home and healing.
Then slow weeks, removing the wheelchair, the drugs,
the oxygen mask and tank, the commode,
the appointment cards,
until it was summer again
and I saw you open the doors to the gift of your garden.

J'ai essayé une traduction (non versifiée)  :

La nuit auparavant, nous  nous sommes rencontrées de nouveau, sans dire les adieux insupportables, nous vîmes nos yeux briller à travers nos larmes suspendues. O j'eus le désir soudain - quoique je vous connaisse à peine - de me tenir debout à la porte de votre maison, le coeur battant calmement, lorsqu’ils vous y auraient ramenée, chez vous, chez vous et convalescente. Alors les lentes semaines, à vous débarrasser du fauteuil roulant, des médicaments, du masque à oxygène et du réservoir, de la commode, des cartes de rendez-vous, jusqu'à ce que ce soit de nouveau l'été où je vous verrais ouvrir la porte au présent de votre jardin.

http://www.guardian.co.uk/books/2009/may/02/premonitions-...

07:18 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

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