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30/12/2008

Commérage à propos d'un "fait divers"

Il n’y avait vraiment pas de quoi se vexer. Pas de quoi. Car que s’est-il passé en fait pour en arriver là ?

- Rien

Sauf le film dans sa tête, qui s’est assombri d’un coup, au soupir de l’autre. Il a vacillé alors, pris de panique et l’a frappé. Pour rien.

S’il l’avait vraiment regardé, d'un simple regard, il se serait rendu compte et le cours de leur vie aurait continué. Son film n’aurait plus eu d’importance, évidemment il ne se serait pas vexé, et il serait libre à l’heure qu’il est.

Oui, je sais tout le monde le dit : « si avec des si on sortait Paris de sa bouteille, les idées pourraient circuler, et les mauvais scénarios se videraient de leur sang sans rougir. » Tout le monde le dit mais personne ne fait rien. Il n’y a  pourtant pas de honte à se respecter.

 

09:38 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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