03/07/2008
Le déni
Le monde post-industriel garde dans les médias, une ambiance d’usine de production massive par sa nostalgie d’une époque où il fallait courir toujours plus vite, rattraper le temps, en gagner plus pour travailler plus, honorer les commandes dans les délais. Mais comme chacun sait, si les besoins des hommes riches sont toujours plus grands et nombreux, ceux de la planète, en corrélation avec l’activité humaine ont fini par se faire sentir. Elle s’épuise, nous le savons, intouchable déjà en de nombreux endroits. En l’appauvrissant, les hommes les plus riches appauvrissent l’humanité, eux-mêmes en finale, mais bizarrement, l’ambiance est au déni.
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