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17/04/2008

Lecture

Une fois passé le cap de « l’étrange fête du domaine perdu », j’ai trouvé Le Grand Meaulnes de nouveau captivant à lire.

François semble maîtriser mieux que les autres ses émotions : il partage les soucis des amoureux, essaie de les aider en toute loyauté. Ce en quoi il est l’exact contraire de Frantz de Galais, le troisième protagoniste, dont l’égoïsme n’a pas de limite quand il s’agit de retrouver sa fiancée. Le dévouement de François pour Meaulnes se nourrit de la reconnaissance qu'il éprouve envers celui qu'il considère comme le frère tant attendu. Meaulnes l’aide à se construire en lui confiant certaines expériences,  (en différé et par écrit pour les plus difficiles). La complémentarité des deux jeunes hommes est rafraîchissante. Je relirai souvent Le grand Meaulnes.

 

 

22:08 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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