01/04/2008
Sa réponse donc,
"Ma réponse donc, expurgée de quelques fautes dues à l'ardeur avec laquelle les flammes commençaient à me lécher les pieds :
Cher Jacques, ne montez donc pas sur vos grands chevaux, à vrai dire de drôles de coursiers, d'une plus drôle apocalypse encore, celle de l'envie (tiens, tiens) et du ressentiment (zut, lui aussi ?).
Plusieurs points : je suis tout prêt à publier sur mon propre blog, voyez ma lâcheté, la réponse qui sera la vôtre à ma critique, si vous le voulez (ou pas) accompagnée de cette bien vilaine lettre, que je vais vite oublier, de votre part. Il est utile que mes lecteurs, dont vous faites apparemment partie, sachent de quoi il en retourne n'est-ce pas et, dans ma volonté de clarté, je suis toujours assez pédagogue...
Bien." Hi ci
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