17/10/2007
Amnésie sélective
Pour favoriser l’obéissance : effacer le passé ?
On a voulu, récemment en Pologne, sanctionner les vétérans des Brigades internationales, qui avaient pourtant défendu la démocratie durant la guerre d’Espagne. Au même moment, on rendait hommage à Milton Friedman, père du néolibéralisme et conseiller du général-dictateur Augusto Pinochet. À l’occasion d’une rencontre avec une femme médecin russe de 83 ans, le grand écrivain britannique John Berger réfléchit sur les amnésies sélectives.
La suite de Effacer le passé.
Reggiani chante Ma liberté, de Moustaki.
08:10 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
L'article est intéressant.
Une petite observation pourtant : il vaut mieux aimer les gens pour être médecin...
Les gens qui ont besoin d'un médecin lui montrent leur meilleur visage ; et ce, malgré la maladie, parce qu'il vaut mieux s'en faire un allié qu'un ennemi évidemment.
Ces mêmes gens peuvent pourtant se lâcher sur quelqu'un de moins important pour leur survie, ce qui explique pourquoi certains trouvent les chiens plus humains que les gens.
Cela dit j'ai aimé l'article. Je passerai chez toi tantôt. Tu vois, je peux faire ma rubrique ds les commentaires !
Écrit par : Mimi | 17/10/2007
Bonjour Mimi
Observation pointue! Les dentistes faisant exception à la règle alors.
Bise.
Écrit par : Sophie | 17/10/2007
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