Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/12/2020

Covid 19

"Covid-19 has not just pummelled the global economy. It has changed the trajectory of the three big forces that are shaping the modern world. Globalisation has been truncated. The digital revolution has been radically accelerated. And the geopolitical rivalry between America and China has intensified. At the same time, the pandemic has worsened one of today's great scourges : inequality."

 

 

Le covid-19 n'a pas seulement ébranlé l'économie mondiale. Il a changé la trajectoire des trois grandes forces qui influencent le monde moderne. La globalisation s'est ralentie brusquement. La révolution digitale s'est radicalement accélérée. Dans le même temps, la pandémie a aggravé l'un des grands fléaux d'aujourd'hui : les inégalités.

 

Vocable du 24 décembre 2020 au 6 janvier 2021

 

Les ouvriers américains sous la férule d'une puissance étrangère ? Ici :

http://eklektik.hautetfort.com/

 

Commentaire : sommes nous en train de vivre un karma ?

13:44 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

L'Espion qui venait du froid

J'ai lu La Maison Russie de John le Carré. Je projette de lire tous ses livres après avoir pris connaissance de l'article à son sujet dans le Télérama de cette semaine. Au vu des virus contrecarrant tous les projets, j'ajoute "à la grâce de Dieu."

 

L'auteur de l'article, Hubert Prolongeau, dit en prélude :

 

"John le Carré a rendu des générations de lecteurs accro aux manigances de la guerre froide et aux turpitudes du capitalisme avide... Les invectives de Sa Majesté contre l'impérialisme et Boris Johnson vont manquer."

 

Le journaliste a couronné l'écrivain, services rendus obligent ; l'écrivain aide en effet les lecteurs à n'être plus éventuellement simples victimes, du fait d'ouvrir les yeux sur certaines réalités. Ils deviennent, s'il était besoin, plus responsables, et s'il était besoin également, osons le mot : plus exigeants en moralité. 

 

J'apprends que John le Carré était une sorte d'orphelin, très brillant dans ses études. Le journaliste écrit ceci à son sujet :

 

"Il ne venait pas du froid, comme le héros de son plus célèbre roman, mais de l'ombre. L'ombre d'un pseudonyme tout d'abord... C'est à Hambourg, où il est en poste, qu'il est recruté en 1956 par le SIS (Secret Intelligent Service). Il a 25 ans et trouve là le terreau littéraire dans lequel va s'épanouir son talent.

"Espion", il le restera jusqu'en 1964 et sera un dommage collatéral de l'affaire Philby, l'agent double qui travaillait également pour les Soviétiques avant de griller sa couverture. Il tiendra plus tard à dissiper tout malentendu :

 

"Je ne suis pas un espion devenu écrivain, je suis un écrivain qui, dans sa prime jeunesse, a passé quelques années inefficaces mais très formatrices dans le renseignement britannique.""

 

Merci Télérama.

00:40 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)