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03/10/2018

Les visions de Maria Valtorta

 

" (…) Ils arrivent déjà près du rivage lorsque, après une lutte acharnée, un homme d’âge moyen et de condition honorable s’approche du Maître et, pour attirer son attention, lui touche l’épaule.
       Jésus s’arrête et se retourne :
       « Que veux-tu ?
       – Je suis scribe, mais ce qu’il y a dans tes paroles ne peut se comparer à ce que renferment nos préceptes. Elles m’ont conquis. Maître, je ne te quitte plus. Je te suivrai partout où tu iras. Quelle est ta route ?
       – Celle du Ciel.
       – Ce n’est pas d’elle que je parle. Je te demande où tu vas. Après celle-ci, quelles sont les maisons où je pourrai toujours te trouver ?
       – Les renards ont leurs tanières et les oiseaux leurs nids, mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête. Ma maison, c’est le monde, partout où il y a des âmes à instruire, des misères à soulager, des pécheurs à racheter.
       – Partout, alors.
       – Tu l’as dit. Toi qui es docteur d’Israël, pourrais-tu faire ce que ces tout-petits font par  amour pour moi ? Ici, on exige sacrifice, obéissance, charité envers tous, ainsi que l’esprit d’adaptation en tout, avec tous. Car la compréhension attire. Celui qui veut soigner doit se pencher sur toutes les plaies. Après, ce sera la pureté du Ciel. Mais ici, nous sommes dans la boue et il faut arracher à la boue, sur laquelle nous posons les pieds, les victimes déjà submergées. Ne pas relever ses vêtements, ni s’éloigner parce que la boue est plus profonde à cet endroit. La pureté, c’est en nous qu’elle doit être. Il faut en être pénétré de façon que rien ne puisse plus entrer. Peux-tu tout cela ?
       – Laisse-moi essayer au moins.
       – Essaie. Je prierai pour que tu en sois capable. » (…)"

 

Sur le site Hozana

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Partage lecture ♣♣♣ Ce matin

 

"Charles Journet

 

Ton âme est plus grande que le monde – XII

 

Lui, qui est un Dieu d’amour, et qui nous aime avec une tendresse infinie, Il n’attend pas que nous soyons parfaits pour nous aimer, et pour se servir de nous. Il nous donne de faire du bien aux autres alors qu’on est tout plein de misères, de blessures intimes, de défauts; Il regarde le grand désir qu’il y a au fond de nos coeurs, et à cause de cela Il nous pardonne tout.

Dieu est Amour, et Il nous a montré la folle tendresse de Son Amour en venant à nous comme un petit enfant. Il n’y a plus qu’à nous jeter, les yeux fermés, dans Ses bras.

 

Charles Journet, Comme une flèche de feu – Lettres spirituelles (Ad Solem, 2008)"

 

♣♣♣

 

Ce matin, à l'occasion d'une course, je suis passée par le parc situé près de la maison. Ce parc est longitudinal car il suit le parcours du canal qui a été rebouché vers les années 1970. Le chemin de terre au milieu, c'était le canal, la verdure tout le long, constituait les anciennes berges, un km plus loin, le canal débouchait sur la gare d'eau qui est maintenant une sorte de lac entouré de larges pelouses plantées de toutes sortes d'arbres. J'étais donc quelque part sur la berge de l'ancien canal et j'entends siffler un oiseau. J'imite son sifflement comme il m'arrive de le faire dans le patio, au printemps, période de grande allégresse pour les oiseaux ; j'attends la réponse de l'oiseau (dans le patio, l'oiseau ou les oiseaux me répondent), mais en guise de réponse cette fois, un chien s'amène vers moi et stoppe net, à deux mètres de moi et me regarde à la dérobée, d'un air... de ne ne pas apprécier la blague. J'avais par méprise imité le sifflet de son maître. J'ai accéléré le pas sans demander mon reste. "Les têtes blanches n'sont plus c'qu'elles étaient."  Sauf que je ne l'ai pas fait exprès.

10:51 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)