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06/10/2017

Au Royaume-Uni la question de l'armement de plus d'agents de police se pose ♣♣♣ La prière de saint Bruno ♣♣♣ Bradbury ♣♣♣ Une écriture foisonnante de belles émotions

 

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Dans les huit minutes suivant le début de la violence meurtrière de trois terroristes à London Bridge en Juin, la police armée les a abattus. Mais pas avant que les criminels n'aient tué  huit personnes et blessé beaucoup d'autres. Les agents de police étaient préparés à ce scénario, mais pas armés ils ont été incapables de les arrêter.  En mars, Keith Palmer,  agent  de police non armée, a été tuée en essayant de mettre fin à l'attaque de Khalid Masood à Westminster. Ces récents incidents terroristes cherchant à faire le plus de victimes possible ont suscité un débat en Grande Bretagne, à savoir si plus de policiers ne devraient pas porter une arme.

 

 

Within eight minutes of three terrorists beginning their murderous rampage at London Bridge in June, armed police had shot them dead. But not before the criminals had killed eight people and injured many more. Officers were already at the scene but, unarmed, they had been unable to stop them. In March Keith Palmer, an unarmed police constable, was killed trying  to stop Khalid Masood's attack at Westminster. These recent 'marauding" terrorist incidents have provoked debate in Britain about whether more of its police should carry guns.

 

 Extrait de Vocable (avant-dernier numéro)   

 

♣♣♣

 

Lu dans Jubilate, la prière de saint Bruno :

 

Bruno le Chartreux (Saint Bruno)

 

Seigneur, dans le silence de ce jour naissant, je viens Te demander la paix, la sagesse et la force. Je veux regarder aujourd’hui le monde avec des yeux tout remplis d’amour, être patient, compréhensif, doux et sage, voir au-delà des apparences, Tes enfants comme Tu les vois Toi-même, et ainsi, ne voir que le bien en chacun. Ferme mes oreilles à toute calomnie, garde ma langue de toute malveillance, que seules les pensées qui bénissent demeurent dans mon esprit, que je sois si bienveillant et si joyeux, que tous ceux qui m’approchent sentent Ta présence, revêts-moi de Ta beauté, Seigneur, et qu’au long de ce jour, je Te révèle.

Saint Bruno, Prière du matin (site-catholique.fr)

 

♣♣♣

 

Aucun son, une fois émis, n'est vraiment perdu à jamais. Dans les nuages électriques, tous y sont retenus de façon sûre, et avec un contact, si nous les trouvons, nous pouvons  capter à nouveau ces échos de tristesse, les guerres oubliées, les longs étés, et les doux automnes.  

 

 

No sound, once made, is ever truly lost. In electric clouds, all are safely trapped, and with a touch, if we find them, we can recapture those echoes of sad, forgotten wars, long summers, and sweet autumns.

~ Ray Bradbury

 

Bradbury s'identifia à Jules Verne, disant " Il croit que l'être humain est dans une étrange situation dans un monde très étrange et il pense que nous pouvons triompher en nous conduisant de façon morale." [...]

 

... il rencontra Robert Heinlein, ensuite à l'âge de trente et un ans. Bradburry se souvint, "Il était très connu et écrivait de la science fiction humaniste, qui m'influença pour oser être du côté de l'humain plutôt que du côté de la mécanique.

    

 

Bradbury identified with Verne, saying, "He believes the human being is in a strange situation in a very strange world, and he believes that we can triumph by behaving morally". [19] Bradbury admitted that he stopped reading genre books in his 20s and embraced a broad field of literature that included Alexander Pope and poet John Donne.[20] Bradbury had just graduated from high school when he met Robert Heinlein, then 31 years old. Bradbury recalled, "He was well known, and he wrote humanistic science fiction, which influenced me to dare to be human instead of mechanical."

Wikipédia

 

 

 

♣♣♣

Extrait :

 

"Au total, ce livre bien écrit et chaleureux est un témoignage touchant sur la vie d’un enfant de la Haute-Guinée dans les années 40, qui mêle respect des traditions et des croyances, travail et surtout une incroyable solidarité entre les êtres. 

 

« (…) Nous prenons tous un jour ce chemin qui n’est pas plus effrayant que l’autre… L’autre ?... L’autre, oui : le chemin de la vie, celui que nous abordons en naissant, et qui n’est jamais que le chemin momentané de notre exil… (page 170)."

 

Lu sur le blog Le bien écrire

 

 

 

09:32 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)